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McShep-McDannoForever

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Stargate Atlantis theme

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Création : 14/01/2019 à 15:11 Mise à jour : 11/01/2020 à 08:51

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La magie d'Halloween: OS

La magie d'Halloween: OSIl régnait une ambiance bonne enfant dans la cité. C'était une journée calme sans mission et les habitants étaient en repos. Élisabeth avait décidé d'organiser une fête. Eh oui aujourd'hui c'était Halloween et elle avait reçu tout ce qu'elle avait demandé au colonel Caldwell. Et c'est pour ça qu'elle s'était décidée à organiser une soirée. Pas n'importe quelle soirée. C'était une soirée costumée et elle allait en profiter pour déclarer sa flamme au colonel Sheppard. Cela faisait 3 ans qu'elle dirigeait la cité. Cela faisait 3 ans qu'elle était amoureuse de cet homme. Elle allait lui demander de s'occuper de la décoration de la cité. En parlant de lui il était allongé dans sa chambre entrain de dormir car il ne dormait pas bien depuis un moment et il avait besoin de repos. Il était amoureux de Rodney et cet amour le rendait dingue. Il fut réveillé par l'appel d'Élisabeth:

-John? C'est Élisabeth.
-Oui Élisabeth? Fit-il à moitié endormi.
-Est-ce que vous pouvez venir me voir s'il vous plaît? Lui demanda t'elle, j'aurais quelque chose à vous demander.
-Oui j'arrive, lui dit-il.

Il coupa la communication et se leva. Il alla se passer de l'eau sur le visage et sortit de ses quartiers. Il longea les couloirs et arriva devant les bureaux de la diplomate et frappa. Une voix lui dit d'entrer. C'est ce qu'il fit. La jeune femme lui sourit et lui fit signe de s'asseoir. Il s'installa et Élisabeth lui demanda:

-Vous avez pu vous reposer John?
-Oui un petit peu Élisabeth, fit-il en lui souriant, que puis-je faire pour vous?
-Voilà je voudrais vous confier une mission, lui dit-elle.
-Oh et sur quelle planète je dois aller? Fit-il quelque peu refroidi.
-C'est sur Atlantis, lui dit-elle.
-Oh euh d'accord, fit-il, c'est quoi cette mission?
-Eh bien voilà j'ai décidé de fêter Halloween et d'organiser une soirée costumée, fit-elle, il y aura aussi un menu spécial. J'ai besoin de vous pour décorer Atlantis.
-Ah euh d'accord si je peux vous aider je suis ravi de le faire, lui dit-il, à quelle heure débute la soirée?
-19h30, fit-elle, toutes les décorations et les costumes sont entreposés à côté du laboratoire du Dr McKay.
-Très bien je vais m'en occuper, fit John en se levant.
-Merci John, fit Élisabeth.

Il lui sourit puis il quitta le bureau de la jeune femme. Élisabeth avait eu une idée formidable. Ce soir ça allait être l'occasion pour le jeune militaire d'avouer ses sentiments à Rodney. Il alla au lieu indiqué par Élisabeth et décida de commencer par le laboratoire de son scientifique. Quand il arriva il le vit penché sur son ordinateur. Il salua Zelenka:
 
-Bonjour Zelenka.
 
Rodney sursauta et s'adressa au colonel en s'énervant:
 
 
-Non mais ça va pas d'arriver comme ça. Vous m'avez fait peur.
-Désolé Rodney ce n'était pas mon intention, fit le militaire.
-Je peux savoir ce que vous faites avec ce carton dans les mains? Lui demanda le scientifique.
-Eh bien il se trouve qu'aujourd'hui c'est Halloween, fit John, et Élisabeth organise une soirée costumée avec un menu spécial donc elle m'a confié cette mission: celle de décorer la cité.
-Mais c'est du n'importe quoi, fit McKay, c'est pour les enfants.
-Moi j'adore cette fête, fit Sheppard, et puis ça va être cool. On va pouvoir se déguiser.
-Se déguiser, se déguiser ! Mais c'est du n'importe quoi  ! Fit  McKay,  en tout cas ne comptez pas sur moi pour venir à cette stupide soirée.
-Quoi? Fit Sheppard déçu, ne me dites pas que vous allez rester ici?
-Si , fit le scientifique.
-Allons Rodney, fit Zelenka, venez avec nous on va bien s'amuser.
-Non j'ai du travail, fit le canadien.
-Rodney ! Fit l'américain d'une voix tranchante, vous allez me faire le plaisir de venir ce soir et si vous ne venez pas je viendrais vous chercher moi même et je vous attacherais à moi si il faut.


Le scientifique se mit à râler et John lui sourit tendrement.  Mais Rodney ne le vit pas et cela attrista le colonel. Zelenka vit la tristesse du militaire et ça lui serra le coeur. Il se promit de tout faire pour réunir les deux hommes. En silence Sheppard décora le laboratoire et quand Lorne passa et vit ce que faisait son supérieur il lui proposa son aide:


-Mr voulez-vous de l'aide?
-Avec plaisir major, fit John.


Les deux hommes finirent de décorer le laboratoire puis ils allèrent  à l'infirmerie. Au passage John expliqua les raisons de ces décorations et le major lui dit qu'Elisabeth avait eu une bonne idée. Après avoir expliqué à Carson les intentions de la diplomate les deux hommes décorèrent puis ils partirent. Ils firent pareil avec les autres pièces et c'est alors que Lorne lui dit:
 
-Vous êtes sûr que vous allez bien Mr?




Le colonel poussa un soupir et lui dit:


-Pas vraiment Lorne. Je peux vous poser une question?
-Oui bien sûr Mr, lui dit-il.
-Avez-vous déjà été amoureux? Lui demanda Sheppard.
-Oui Mr, fit le major, c'est ce qui vous arrive en ce moment?
-Oui je suis amoureux mais cette personne ne le voit pas, fit John, cet amour me rend dingue. Il me consume de l'intérieur. Je ne sais plus quoi faire.
-Si c'est pas indiscret colonel de qui êtes-vous amoureux? Lui demanda le major.
-De Rodney, fit Sheppard.

Lorne était triste pour son supérieur. Il allait tout faire pour les mettre ensemble McKay et lui et pour cela il allait demander de l'aide à Zelenka.  Ils finirent de tout décorer et allèrent se chercher les costumes pour se préparer. John en prit un pour Rodney et il passa au laboratoire pour récupérer son scientifique. Quand il arriva McKay était toujours entrain de travailler. Il lui dit:



-Rodney vous finirez demain il est l'heure d'aller vous préparer.
 
McKay leva la tête et lui dit:


-Allez-y sans moi colonel j'ai du travail.
-Non McKay ! Fit Sheppard, vous venez et c'est un ordre.


Le canadien soupira et suivit l'américain hors du laboratoire. Ils allèrent dans leurs quartiers et avant d'entrer le colonel lui remit son costume.  John entra dans la salle de bain et se doucha. 30 minutes plus tard il fut prêt. Il sortit de ses quartiers et alla chercher l'homme qui faisait battre son coeur. Au même moment Rodney sortit et John lui dit:


-Vous être prêt? On peut y aller?
-Oui on peut y aller, fit le scientifique de mauvaise grâce.


Pendant le chemin les deux hommes discutèrent de tout et de rien puis ils arrivèrent au mess. Ils prirent un apéritif et Elisabeth porta un toast après avoir fait un discours. Après cela ils purent commencer à manger.  Il y avait de la musique. Elisabeth se dit que c'était le moment. Elle alla voir John qui lui demanda:
La magie d'Halloween: OS-Est-ce que tout va bien Elizabeth?
-Oui enfin pas trop, lui dit-elle nerveusement, est-ce qu'on peur sortir sur le balcon?
-Oui bien sûr, lui dit-il.


Les deux jeunes gens sortirent sur le balcon puis la diplomate parla:


-John j'ai quelque chose à vous confier.
-Allez-y je vous écoute, fit le militaire.
-Voilà ça fait un moment que je voulais vous le dire mais je ne savais pas comment alors voilà je me lance: Je suis amoureuse de vous John, fit la jeune femme.


Pendant un instant le militaire ne dit rien et quelques minutes plus tard  John lui dit qu'il était flatté mais qu'il n'était pas amoureux d'elle. Elle le regarda surprise et Sheppard coula un regard tendre vers Rodney.  Elle comprit et lui dit qu'elle ne pouvait pas lutter.  Elle lui souhaita bonne chance.  John lui sourit et il alla voir Rodney. Il lui dit:


-Il faut que je vous parle Rodney.
-Qu'est-ce que vous voulez colonel?  Lui demanda t'il
-Elisabeth est venu me voir pour  m'avouer ses sentiments, fit le militaire.
-Oh, fit le scientifique surpris, et qu'avez-vous répondu?
-Que je suis amoureux de quelqu'un d'autre, fit l'américain.


John souda son regard à celui de son ami . Ils se fixèrent un long moment en silence puis le colonel murmura:


-C'est vous la personne que j'aime.


Rodney s'écarta vivement en le repoussant et en lui disant:




-Ne me touchez pas !  Laissez-moi tranquille !


John se figea tandis que le scientifique reprenait:


-Je ne suis pas comme ça !




Alors sans s'attarder davantage Sheppard prit la fuite et alla au balcon où il laissa sortir sa peine.
https://www.youtube.com/watch?v=s09LuDYX12g&list=PL0rWUiXm2MdFgvp_SVsLHTnbhgwZpixX7&index=69
Zelenka qui avait remarqué tout cela alla voir Rodney et lui dit:
 
-Vous savez ce que vous êtes? Un imbécile.
-Quoi? Mais de quoi je me...Commença le scientifique en s'énervant.
-Au lieu de vous comportez comme un égoïste allez le voir, fit le tchèque, il a besoin de vous.
-Je ne sais pas où il est parti, fit le canadien.
-Vers ses quartiers, fit Lorne.
-Merci Major, fit McKay.
 
Le scientifique quitta le mess et se rendit dans les quartiers du colonel. Quand il entra il le vit accoudé à la rambarde. Il lui demanda:
 
-Qu'est-ce qu'il se passe John?
-Qu'est-ce que vous me voulez? Fit le militaire en s'énervant.
 
Et sans qu'il s'y attende il craqua. Il dit à son ami:
 
-Je suis amoureux de vous depuis 3 ans. En fait depuis que je vous ai vu à la base de l'Antarctique. Mais pour ne pas le montrer je couchais avec les femmes.  Moi non plus je ne suis pas comme ça mais ce n'est que de vous dont je suis amoureux. Cet amour me rend dingue. J'en dors mal.
 
Rodney en resta sans voix et de voir son ami dans cet état ça lui faisait mal. Il le prit dans ses bras et lui dit:
 
-Je suis désolé de n'avoir rien vu.
 
John pleurait contre lui et le scientifique ne savait pas comment le réconforter. Sheppard se dégagea et partit dans le hangar à Jumper et en prit un. Il décolla et alla dans un endroit de la cité qu'il aimait bien. Il posa l'appareil, sortit et alla s'asseoir.  Entretemps Rodney qui était inquiet pour son ami avait prit un jumper et l'avait suivit. Il alla s'asseoir à ses côtés en silence et le colonel prit sa main dans la sienne. Il la serra fort et posa sa tête sur l'épaule du canadien. Ils ne disaient rien et regardaient les étoiles. Rodney tourna sa tête vers lui et timidement il déposa un baiser sur les lèvres de John.  Le colonel le rapprocha de lui et approfondit le baiser. Il demanda l'accès à sa langue que le scientifique lui accorda. Elles se mirent à danser un ballet sensuel puis manque de souffle ils mirent fin au baiser. Sheppard se lova dans les bras de Mckay et lui dit:
 
-Je t'aime Rodney.
 
Le scientifique caressa la joue du militaire avec tendresse et lui dit:
 
-Moi aussi je t'aime John.
 
Ils échangèrent un nouveau baiser puis ils se levèrent pour repartir. Ils remontèrent dans les jumpers et repartirent vers la cité. John se sentait beaucoup mieux et il était heureux car Rodney l'aimait. Les deux hommes posèrent les jumpers dans le hangar et descendirent. Aussitôt Sheppard alla se blottir contre McKay qui referma ses bras autour de lui. Ils s'embrassèrent et le colonel vit le désir dans les yeux de son compagnon. Le canadien prit la main de l'Américain dans la sienne et l'emmena dans ses quartier. Il embrassa doucement le militaire. John répondit à son baiser avec douceur et s'écarta lentement de lui.
 https://www.youtube.com/watch?v=MCgW8tbA4bA&list=PL0rWUiXm2MdFgvp_SVsLHTnbhgwZpixX7&index=17
-Tu es sûr? lui demanda t'il en nouant son regard au sien
-oui...Fit Rodney.

John sourit et hocha la tête. Lentement il se rapprocha à nouveau de Rodney et repris ses lèvres. Le scientifique entrouvrit la bouche et le baiser devint passionnel. Puis il attira John à lui et l'incita à s'allonger sur lui. John hésitait il avait peur de brusquer Rodney mais en même temps il sentait le désir monter irrépressiblement. Ses mains glissèrent sur le torse du canadien et le caressèrent lentement. Rodney laissa échapper un gémissement et John s'enhardit. Il passa une main sous le tissu et caressa la peau douce et chaude. Sous lui Rodney tremblait mais c'étaient des frissons de plaisir. La main dériva vers l'estomac puis plus bas, frôlant la ceinture du pouce. Avec des gestes lents, John fit passer le t-shirt de Rodney par-dessus sa tête et le lui retira. Le scientifique le dévorait du regard. L'américain compris et retira également son propre t-shirt. Ils se retrouvèrent à égalité. John s'allongea sur Rodney, qui l'entoura de ses bras. Ses mains parcouraient langoureusement le dos du militaire, lui arrachant des gémissements rauques de plaisir. Puis à nouveau, ils s'embrassèrent, laissant leur plaisir les guider. D'un geste d'expert, John déboutonna le pantalon de Rodney mais il ne lui enleva pas tout de suite. D'abord il quêta une approbation dans son regard. Il voulait vraiment être certain. Rodney lui sourit et fit lui-même glisser le vêtement sur ses cuisses. John sourit à son tour et posa la main sur la bosse qui déformait le boxer du canadien.

-A ton tour, fit Rodney malicieusement en tirant sur le pantalon de l'américain.

John poussa un cri de surprise alors que le vêtement lui tombait sur les chevilles. Il ne s'était même pas aperçu que Rodney le lui avait déboutonné.
Puis, une fois débarrassé de son encombrant pantalon, John se rallongea sur Rodney et pressa son désir contre le sien. Ils gémirent à l'unisson. Une main se glissa entre leurs ventres et trouva le chemin jusqu'à la terre promise. John se cambra en la sentant et poussa un cri rauque. Puis sa main vint rejoindre celle de son amant et se glissa dans son boxer. Simultanément, ils entamèrent un lent mouvement de va et viens, leurs hanches ondulant au même rythme que leurs mains. John fut le premier à atteindre l'orgasme. Il arqua les reins et explosa en criant le prénom de l'homme qu'il aimait. Il fut aussitôt suivi par Rodney qui poussa un long gémissement avant de se laisser aller et de se répandre dans la main de son amant. Leurs bouches se séparèrent tandis qu'ils aspiraient goulûment l'air qui leur faisait défaut. Puis John laissa ses mains partir à la découverte de ce corps qu'il connaissait maintenant si bien, éveillant des sensations indescriptibles chez son compagnon. Rodney se laissait faire, s'imprégnant comme une éponge de la félicité qui courait dans ses veines.


-Jooooohn !!!! C'est bon.... Encore... souffla-t-il alors que la main du militaire venait taquiner ses bourses pleines tandis que sa bouche suçotait lascivement le lobe de son oreille.

Bon sang ! Jamais personne n'avait su le faire vibrer comme ça ! Jamais personne n'avais réussi à cartographier le moindre millimètre de son corps pour répertorier chaque zone érogène, chaque parcelle de peau réactive, chaque geste, chaque effleurement qui lui soutirerait des plaintes d'extases et des cris de jouissance. Son corps se tendit comme un arc alors que la main audacieuse enveloppait maintenant sa verge, allant et venant sur son érection douloureuse en décuplant son désir tandis que la langue s'attaquait à ses tétons, allant alternativement de l'un à l'autre, les rendant hypersensibles. S'il continuait ainsi, Rodney n'allait pas tarder à venir et il ne voulait pas venir ainsi: il y avait trop de temps qu'il désirait son compagnon pour se contenter de ce type d'étreinte. D'un coup de rein, il renversa la position, se retrouvant à califourchon sur le bassin de son amant, le détaillant avec des yeux gourmands qui ne laissaient aucun doute sur ses intentions.
La magie d'Halloween: OS-John... j'ai envie de toi..., murmura-t-il d'une voix un peu rauque, se pourléchant les lèvres d'avance du festin de roi qu'il savait l'attendre.

Pour toute réponse, le militaire lui sourit, s'empara de sa main et se mit à lui sucer langoureusement les doigts, un regard débordant de luxure rivé sur le sien. Puis il écarta largement les jambes pour lui permettre de s'installer entre elles. A le voir ainsi, s'offrant sans pudeur, sans retenue, Rodney dut rassembler tout son self-Control pour ne pas le pénétrer et le faire sien sans attendre tant l'envie qui le taraudait à cet instant devint presqu'insoutenable. Il respira profondément, se forçant au calme : il ne voulait pas d'un assaut à la hussarde, flamberge au vent, labourant son compagnon sans aucune subtilité... Non, il voulait lui faire perdre la tête, le noyer de plaisir, posséder non seulement son corps mais son âme et la moindre parcelle de ses pensées... Il fit pénétrer son index dans l'antre chaud déjà prêt pour l'accueillir et John se tendit vers lui dans une invite sans équivoque : il voulait plus, beaucoup plus. Il ne tarda pas alors à revenir cette fois en adjoignant le majeur et, devant l'absence de réaction douloureuse de son compagnon, il passa très vite à trois doigts qui se mirent à aller et venir dans l'intimité offerte tandis que son autre main effleurait du pouce le gland déjà un peu humide alors que les autres doigts jouaient leur partition sur la longueur du membre roide. John commença à haleter sous les sensations délicieuses que les caresses précises et voluptueuses faisaient naître en lui. En bon scientifique, Rodney savait optimiser ses effets: un minimum de gestes pour un maximum de résultat... L'amour avec lui était... Il n'y avait pas de mots dans son vocabulaire pour le caractériser.

 

-Rodney... maintenant... parvint-il à souffler entre deux gémissements de plus en plus sonores.

Le désir de son amant rejoignant le sien, le scientifique ne se fit pas prier plus longtemps avant de retirer ses doigts pour les remplacer par son sexe tendu à son maximum. Il pénétra le long fourreau étroit d'un geste ample et souple et se trouva très vite enchâssé jusqu'à la garde, arrachant un premier cri à John, dans lequel, sous la souffrance, on décelait déjà le plaisir. Il attendit quelques instants que son partenaire se détende sous ses baisers et ses caresses avant de commencer à aller et venir, doucement d'abord, puis de plus en plus vite.

-Là... oh oui !!! Hooooo !!!!

Le visage empourpré, John Sheppard se laissa aller en arrière, ne retenant plus ses gémissements de plaisir tandis que son compagnon se mouvait en lui, trouvant son point de plaisir à chaque bout de course. Il n'arrivait plus à coordonner deux pensées tant tout son corps n'était plus que sensualité et abandon. Rodney se retira brusquement, provoquant un râle d'intense frustration chez son compagnon, mais il revint d'un seul coup en lui, profondément et John hurla alors son plaisir en se cambrant à sa rencontre. Ravi du résultat obtenu, MacKay réitéra le geste, criant à son tour tant la sensation autour de son membre était jouissive. Les deux hommes ne retenaient plus leurs manifestations de plaisir. Leurs corps étaient couverts de sueur et leur étreinte devenait frénétique. Soudain John sentit une boule remonter de son bas ventre pour venir exploser dans sa poitrine et il se laissa aller à la volupté dans un hurlement plus fort que les autres. Ses muscles internes se resserrèrent brusquement autour de la virilité de Rodney et à son tour celui-ci atteignit l'orgasme dans une démonstration vocale ne le cédant en rien à celle de son compagnon. John soupira et se laissa retomber sur la poitrine du canadien.

-Merci, murmura Rodney en l'embrassant dans les cheveux.
-Je t'aime, répondit simplement John en se redressant.

Puis il l'embrassa doucement.


-Moi aussi, je t'aime John, fit Rodney.

John enfouit son visage dans le cou du canadien qui le serra contre lui. Rodney sourit, le nez dans les cheveux sombres du militaire. Il se sentait bien, mieux qu'il ne l'avait été ces derniers temps. Ils restèrent quelques instants l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, profitant de ce moment où tout ce qu'ils ne se disaient pas passait dans leurs corps repus, dans leurs mains dont les doigts s'entrelaçaient, dans leurs bouches qui se cherchaient, dans leurs sueurs qui se mêlaient, dans leurs c½urs qui battaient à l'unisson. Puis doucement Rodney se désengagea et s'allongea aux côtés de son amant, posant la tête sur son torse tandis qu'il lui caressait le dos avec tendresse. Ils étaient bien...C'est dans cette position qu'ils s'endormirent. Le lendemain matin John fut le premier à se réveiller. Il regarda son amant dormir. Il sourit tendrement. Rodney avait été doux et à son écoute. Son amour pour lui ne connaissait aucune limite. Il se pencha et embrassa son amoureux qui passa ses bras autour de son cou pour approfondir leur baiser. Leurs langues se mirent à danser un ballet sensuel puis ils s'interrompirent par manque de souffle. Rodney fit à son amant:


-Bonjour mon amour bien dormi?
-Bonjour mon chéri, fit John, oui et toi?
-Oui, fit le scientifique en souriant, mais tu sais si tu veux pas ma mort sur la conscience on ferait mieux d'aller prendre le petit déjeuner.


L'américain sourit avec tendresse puis ils se levèrent pour aller prendre leur douche. Un 1/4 d'heure plus tard ils sortirent des quartiers du colonel et partirent au mess. Quand ils arrivèrent leurs amis étaient déjà là. Ils prirent leur plateau et allèrent s'asseoir avec eux. Les deux amoureux leurs souhaitèrent le bonjour et John leur demanda:


-Comment allez-vous? Pas trop fatigués de cette soirée?
-Non ça va, fit Teyla rayonnante.
-Elisabeth a eu une bonne idée, fit Carson.
-Oui, fit Zelenka, et ça a permis à des couples de se former.
-Oh, fit le colonel, et qui sont les couples?
-Eh bien, fit Lorne, il y a Elisabeth et Ronon.
-Il y a Teyla et moi, fit le médecin.
-Zelenka et Lorne, fit Teyla.
-Hein? Fit Rodney en recrachant son café sur Carson.
-Merci Rodney, fit l'écossais.
-Quoi ça vous dérange? Fit Zelenka, vous vous êtes incapable de dire au colonel ce que vous ressentez pour lui.


John se tourna vers Rodney et lui dit:


-Rodney je crois qu'on devrait leur dire.
-Nous dire quoi? Demanda Carson.
-Tu es sûr de toi? Demanda le scientifique à son amant.
-Oui, fit Sheppard.
-Bon ben vas-y, fit McKay, dis-leur.


Le colonel prit la main de son compagnon, l'embrassa et dit à leurs amis:




-Rodney et moi sommes ensemble.
-Enfin, fit Zelenka.


Tout leurs amis les félicitèrent et après avoir quitté le mess alors qu'ils étaient dans les quartiers du militaire Sheppard était au balcon accoudé à la rambarde. Rodney vint le rejoindre et vint se placer derrière lui en lui demandant:


-A quoi tu pense bébé?
-A nous, fit John, A Zelenka, Lorne et à Elisabeth. C'est grâce à eux que nous sommes ensemble.


Il se tourna vers son amant et lui dit:


-Je t'aime Rodney. Je te promets que je ne te ferais aucun mal. Je serais toujours là pour toi.
-Moi aussi John, fit son compagnon.


Et c'est avec cette promesse qu'ils scellèrent leur avenir.
La magie d'Halloween: OS
Tags : John Sheppard ❤, Rodney McKay ❤, la magie d'halloween, OS ❤️, Stargate Atlantis ! ♥
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#Posté le jeudi 31 octobre 2019 01:52

Modifié le samedi 02 novembre 2019 07:57

Un Noël magique:OS

Un Noël magique:OSJohn n'en revenait pas. Le CIS et le SGC venaient de le nommer dirigeant d'Atlantis. Il ne s'attendait pas à cette promotion. Cela voulait dire qu'il pourrait moins aller sur le terrain voire pas du tout. Cela ne l'enchantait guère  mais il ne pouvait pas faire autrement. Du coup il devait déléguer la sécurité de la cité à son second le major Lorne. Par le biais de son oreillette il appela Lorne:
 
-Major ici le colonel Sheppard. Pouvez-vous me retrouver dans le bureau du Dr Weir s'il vous plaît?
-Oui tout de suite Mr, fit Lorne. 




Le colonel mit fin à l'appel et attendit le jeune homme. Dès qu'il aurait vu le major il en informera son équipe. Le terrain allait lui manquer. Il espérait être à la hauteur de ses supérieurs et la première chose qu'il ferait c'était d'abolir cette loi stupide: Le DADT. Lorne arriva et lui demanda:
 
-Vous vouliez me voir Mr?
-Oui major, fit John, asseyez-vous.
 
Le militaire s'assit puis le colonel reprit: 
 
-Voilà major le CIS et le SGC ont nommé un nouveau dirigeant pour la cité et il se trouve que c'est moi.
-Oh toutes mes félicitations colonel, fit le major.
-Merci Major, fit Sheppard, si je voulais vous voir c'était aussi pour vous déléguer la sécurité de la cité. Vous serez le nouveau responsable et dorénavant je ne vous accompagnerais plus sur le terrain.
-C'est triste Mr, fit-il, mais sachez que je suis honoré d'être le nouveau responsable.
-Merci major je sais que vous ne me décevrez pas, fit John, bien pouvez réunir tout le monde à la salle d'embarquement je dois les informer.
-Pas de soucis Mr, fit Lorne. 


Les deux hommes sortirent du bureau et Lorne alla prévenir tout le monde. Quand ils arrivèrent Teyla demanda: 


-Un soucis John?
-Non tout va bien Teyla, lui dit-il en souriant, bien si je vous ai tous réuni c'est pour vous faire une annonce. Il y a quelques jours nous avons perdu le Dr Weir et je sais que vous êtes tous affecté encore. Cependant le CIS et le SGC ont nommé un nouveau dirigeant et ils ont pensé à moi.  A partir d'aujourd'hui c'est moi qui dirige Atlantis et Lorne sera le nouveau responsable de la cité. Je contacterais le général O'Neill pour que le major ait un second car hélas je ne pourrais plus aller sur le terrain. Tout ce que j'espère c'est d'être à la hauteur.


Tout le monde se regarda et parla en même temps puis Chuck lui dit:


-Vous serez à la hauteur colonel. Vous avez toutes les capacités à diriger cette cité et nous vous aiderons.
-Merci Chuck, fit le colonel.


Toutes les personnes sur la cité applaudirent et félicitèrent le nouveau dirigeant. Sheppard après tout cela repartit dans son nouveau bureau. Il pensait à tout ce que ça allait impliquer. Il se dit qu'il pourrait moins embêter son scientifique adoré qu'il aimait. Oui John malgré qu'il soit avec Teyla était tombé amoureux de l'irascible l'arrogant génie des deux galaxie le Dr Rodney Mckay et de ce fait il devait rompre avec Teyla sans tarder. Alors qu'il s'apprêtait à contacter le SGC pour demander un second pour le Major Lorne l'athosienne vint le voir.  Elle sourit et passa ses bras autour de la taille du militaire et lui demanda:


-Tout va bien John?
-Oui ça va, lui dit-il.
-C'est une très bonne nouvelle pour toi, lui dit-elle, te voilà dirigeant de la cité.
-Pas pour moi, fit-il en soupirant, mais bon je vais le faire. Ecoute Teyla il faut que je te dise quelque chose. Je te remercie du fond du coeur de tout ce que tu as fait pour moi mais je crois que toi et moi on devrait arrêter. On a vécu de bons moments ensemble il faut que tu saches que je ne suis pas amoureux de toi. Je suis amoureux de quelqu'un d'autre.
-Tu es amoureux de Rodney, fit-elle.
-Oui mais comment sais-tu...Commença t'il.
-Les regards, les gestes et les sourires que tu lui adresse, fit-elle.
-Je suis désolé, fit-il contrit.
-Ne le sois pas, fit la jeune femme, ce qu'on a vécu était très beau et puis on peut rester amis.
-Merci Teyla, fit Sheppard.




Ils échangèrent leur dernier baiser puis la Pégasienne partit. Elle avait les larmes aux yeux mais c'était mieux comme ça. Elle le savait depuis le départ mais quelque part ça faisait mal. Assez pleuré elle allait se relever et qui sait un jour elle retrouverait l'amour. Pendant ce temps là John avait contacté le SGC et Landry lui dit que le nouveau second arriverait une semaine plus tard  avec le dédale soit deux jours avant les fêtes de noël. Une semaine plus tard Toute l'équipe d'Atlantis était à la salle d'embarquement pour accueillir le second du major Lorne le lieutenant Jason Miller. Il devait arriver par le dédale avec Caldwell. Effectivement le colonel était le dirigeant temporaire de la cité car John partait le lendemain chez son frère pour fêter Noël aussi il avait demandé au colonel du Dédale de prendre sa place pour 3 jours et sans changer l'organisation de la cité. Alors qu'il attendait il jetait de fréquents coups d'oeil à Rodney. Mon dieu qu'est-ce qu'il aimerait pouvoir lui dire qu'il l'aimait mais il pouvait pas car le canadien n'éprouvait pas les mêmes sentiments que lui. Il soupira et sentit la main de Teyla sur son épaule. La jeune femme lui sourit et lui chuchota dans son oreille:


-Ne perds pas espoir John.
-Je sais teyla, lui dit-il, mais c'est dur.
-Je sais, fit l'Athosienne.


Au même moment Miller et Caldwell arrivèrent. John s"approcha pour accueillir le nouveau. Il salua le colonel:


-Bonjour Colonel.
-Bonjour Sheppard, fit Caldwell.




Sheppard se tourna vers Miller et lui souhaita la bienvenue:


-Bienvenue sur Atlantis Lieutenant Miller. Je suis le colonel John Sheppard le dirigeant de cette belle cité.
-Bonjour colonel je suis heureux de faire partie de l'expédition, fit Miller.
-Vous m'en voyez ravi lieutenant, fit l"Américain, vous savez pourquoi vous êtes ici?
-Oui pour seconder le major Lorne Mr, fit le jeune militaire.
-C'est ça, fit John, major?
-Oui Mr? Fit Lorne.
-Voulez-vous montrer à Miller ses quartiers? Fit Sheppard.
-Oui Mr, fit Lorne.




Miller suivit Lorne tandis que Caldwell et Sheppard allaient dans les bureaux du jeune militaire.  Caldwell lui tendit des documents et l'Américain eut un sourire. C'était des papiers officiellement signés d'Obama pour l'abolition de la loi DADT. John expliqua certaines choses à Caldwell puis il partit préparer ses affaires pour le lendemain. Après un bref passage au mess il repartit dans ses quartiers car le simple fait de voir Rodney le torturait. Il mit son pyjama fétiche, mit de la musique et s'allongea avec son livre "Guerre et paix". Mais au bout de quelques minutes il interrompit sa lecture car il n'arrivait pas à se concentrer parce qu'un scientifique aux cheveux châtains clairs et aux yeux bleus le hantait. Il reposa son livre et avec son gêne il éteignit mentalement sa lumière. Le sommeil tarda à venir et finalement au bout d'une heure il finit par s'endormir. Cette nuit là il fit un rêve très érotique


"Rodney se rapprocha doucement de John qui le fixait et l'entoura de ses bras. Sheppard ne bougeait toujours pas. Rodney s'enhardit, posa ses lèvres sur celles du militaire et... l'embrassa. Si John fut surpris par ce baiser, il ne le montra pas. Il enlaça le scientifique et répondit à son baiser. Il entrouvrit les lèves et leurs langues se joignirent dans un ballet effréné, décuplant leurs sensations. Ils se séparèrent à bout de souffle et John contempla Rodney pendant quelques secondes, le regard brillant. Puis il débarrassa le canadien de son duvet et s'extirpa du sien. Lentement, il glissa ses mains sous le t-shirt de Rodney et le caressa doucement. Le contact de ses mains sur sa peau provoqua de délicieux frissons au canadien qui s'enhardi et retira le t-shirt du militaire, le faisant passer par-dessus sa tête. Pendant quelques secondes, il contempla le torse nu de son amant et celui-ci s'inquiéta devant son absence de réaction.


-Rodney? Est-ce que ça va? Demanda John.
-Oui ça va même très bien, répondit le canadien en souriant et en glissant ses doigts entre les quelques poils noirs présents sur le torse du militaire lui provoquant un frisson de plaisir.


John lui sourit et repris ses lèvres pour un nouveau baiser passionné. Puis sa bouche glissa vers son cou et sa poitrine. Mais ses lèvres rencontrèrent un obstacle de tissu bleu qu'il s'empressa de faire disparaître rapidement. Ils étaient maintenant peau contre peau et ce simple contact décupla leur désir. Les mains de John parcouraient avidement la poitrine de Rodney, s'arrêtant sur les mamelons, les pinçant légèrement provoquant des gémissements de plaisir chez son partenaire. Le scientifique s'attaquait maintenant au pantalon du militaire, qu'il n'avait pas retiré avant de se coucher, se débattant avec la ceinture qu'il n'arrivait pas à enlever. John sourit en le voyant et vint à sa rescousse. Il retira prestement le vêtement et repris ses caresses. Il traça une ligne de baisers humides sur le torse de Rodney s'arrêtant au nombril. Le canadien poussa un gémissement et se cambra brusquement sous la vague de plaisir qui déferlait en lui. Puis John glissa son pouce sous l'élastique de son caleçon. La respiration de Rodney se fit anarchique lorsque la main du militaire se referma sur son membre durci et commença un lent mouvement de va et vient. Les hanches de Rodney se décollèrent légèrement et John compris. D'un brusque coup de rein, il les fit basculer. Rodney se retrouva en position de force. Il sourit, un petit sourire de triomphe et se pencha vers John. Doucement, il l'embrassa et ses lèvres partirent explorer le corps de son amant. Arrivé au bas-ventre, il retira le boxer du militaire, libérant son sexe fièrement dressé. Il le contempla un instant puis enroula ses longs doigts autour. John poussa un cri que Rodney fit taire d'un baiser. Il ne voulait pas que Teyla ou Ronon puissent les entendre. Quoiqu'en y réfléchissant il était peut-être déjà trop tard. Mais il s'en fichait. Tout ce qui lui importait était l'instant présent. Les mains de John courraient dans son dos et s'infiltrèrent dans son caleçon, empoignant les fesses rondes et les malaxant avec frénésie. Rodney continuait ses caresses, John arqua les reins brusquement et, dans un râle rauque, jouit dans la main de son amant. L'orgasme le laissa complètement épuisé et il ferma les yeux pendant quelques secondes. Lorsqu'il les rouvrit, il se trouva face à un regard bleu brûlant de désir. Il n'y résista pas et d'un coup de rein, reprit le dessus.


-John... murmura Rodney en le dévorant des yeux.
-Tu es sûr? Demanda John.
-Oui je te veux maintenant, haleta le scientifique.




John l'embrassa et glissa une main sous ses reins. En douceur, il le pénétra d'un doigt, immédiatement Rodney se tendit sous la douleur. John commença à bouger lentement en lui, tirant écartant pour mieux le préparer puis inséra un deuxième doigt. Rodney se cambra et poussa un long gémissement.


-Maintenant John... s'il te plait, haleta t'il. 


Le militaire retira ses doigts et s'agenouilla entre les jambes de son amant. Puis il lui releva les jambes et doucement s'inséra en lui.


-Ça va? Tu es bien? demanda le militaire. 


Rodney hocha la tête et attira le militaire à lui, l'incitant à le pénétrer plus profondément. John amorça un lent mouvement de va et vient. Rodney calqua le mouvement de ses hanches sur les siennes, nouant ses jambes autour de sa taille. John sentant le plaisir affluer en lui, accéléra le mouvement et donna des coups de reins de plus en plus rapide, percutant la prostate de son amant avec force à chaque mouvement. Sous lui, Rodney haletait et gémissait. Afin de décupler le plaisir de son amant, John pris son sexe durci dans sa main et lui imprima un rapide mouvement de va et vient. Rodney se libéra en criant dans la main de son amant, provoquant l'orgasme de celui-ci qui explosa en lui dans un cri rauque. John se laissa retomber épuisé sur la poitrine de Rodney. Tout deux tentaient de reprendre leur souffle. Puis Rodney passa ses bras autour du militaire et le serra convulsivement contre lui.


-Hey je ne vais pas m'enfuir tu sais, sourit John
-Je sais mais je veux être sûr que cette fois ci je ne rêvais pas, répondit Rodney en lui rendant son sourire.


Pour toute réponse, John l'embrassa. Puis il se retira et s'allongea à côté de Rodney qui se blottit contre lui. Épuisés par toutes ces émotions, les deux hommes s'endormirent dans les bras l'un de l'autre."


Wow ! John se réveilla en sursaut. Quel rêve ! Ça avait l'air réel. Il essaya de retrouver une respiration calme puis il se rendormit. Le lendemain il se réveilla troublé par le rêve qu'il avait fait. Il prit une longue douche pour se relaxer puis il s'habilla. Il sortit de ses quartiers et tomba nez à nez sur l'homme qui le hantait. Il le salua:


-Bonjour Rodney.
-Bonjour John, fit le canadien, comment allez-vous?


Sheppard sourit avec tendresse touché par la sollicitude du scientifique. En fait certains membres étaient au courant de sa récente rupture avec Teyla et bien sûr chacun essayaient de leur remonter le moral même si c'était lui le responsable. McKay lui demanda:


-Combien de temps restez-vous sur terre?
-3 jours, fit le militaire, et vous Rodney?
-Oh eh bien 3 jours aussi, fit le canadien.


Ils arrivèrent au mess, prirent leur plateau et allèrent s'asseoir avec leurs amis. John demanda à Miller comment s'était passé sa première nuit à Atlantis. Le jeune homme lui répondit qu'il avait passé une bonne nuit. Il fit le tour de la salle et vit que celle-ci était décorée et qu'il y avait un sapin. Il sourit et fini de prendre son petit déjeuner. Une demi-heure plus tard Rodney et lui étaient à la salle d'embarquement et au moment où ils traversèrent le vortex leurs amis leur souhaitèrent de bonnes fêtes. Ils arrivèrent au SGC et après le débriefing et un passage à l'infirmerie les deux amis purent partir. Ils se quittèrent à l'aéroport tout en se souhaitant de bonnes fêtes. Le temps de prendre son avion John se promena dans les magasins et sans savoir pourquoi il acheta des cadeaux pour Rodney et sa famille. Ce fut l'heure pour lui de prendre l'avion pour Washington. Durant le vol il pensa très fort à Rodney et se traita d'idiot pour ne lui avoir pas avoué ses sentiments. Il atterrit à Washington et partit chez son frère. Dave fut surpris et heureux de revoir son petit frère. Ils parlèrent un moment puis ce fut l'heure pour eux de se préparer. 20 minutes plus tard quand John descendit au salon Dave était entrain de recevoir ses invités. Il se mit dans un coin et attendit. Son frère le présenta à ses amis et c'est alors que tout dérapa. L'un d'eux se moqua ouvertement des couples bi et Gay. John en fut malade et comprit que sa place n'était pas ici mais aux côtés de l'homme qu'il aimait. Il prit ses affaires et appela un taxi qui vint 10 minutes plus tard et insensible aux appels de son frère il quitta la demeure familiale pour aller à l'aéroport. Par chance il attrapa une correspondance pour le Canada. L'avion décolla peu après et le vol dura 1h30. Quand il arriva il loua une voiture et partit chez les Miller. 30 minutes plus tard il frappa à la porte et ce fut Jeanie qui lui ouvrit. Elle lui dit en souriant:Un Noël magique:OS-Bonsoir John.
-Bonsoir Jeanie, fit John.
-Jeanie qui c'est? Demanda une voix qu'il connaissait bien.


C'est alors que l'homme qu'il aimait s'approcha d'eux et dit d'une voix surprise:


-John?
-Salut Rodney, fit le militaire.
-Mais qu'est-ce que vous faites ici, fit le scientifique.
-Eh bien disons que je suis parti de chez mon frère où ce n'était pas ma place et j'ai décidé de venir ici, fit L'Américain.
-Vous avez eu raison, fit Jeanie, n'est-ce pas Meredith?
-Euh oui bien sûr, fit le Canadien.


Le colonel se mit à rire tandis que McKay râla après lui. Jeannie lui dit:


-Venez John, on s'apprêtait à passer à table.


Ils allèrent dans le salon et John salua le beau-frère de Rodney. La petite Madison demanda à sa mère:


-Maman c'est qui ce monsieur?


John sourit et lui dit:


-Bonjour je suppose que tu dois être Madison moi je suis John un ami de ton tonton.
-Bonjour John, fit la petite.


Ils se mirent à table et commencèrent à manger. Le repas fut animé car John et Rodney se cherchaient. Jeanie sourit. Ces deux-là s'aimaient comme des fous. Les voyant faire la petite Madison demanda à sa mère:


-Maman pourquoi ils se disputent John et tonton Meredith?
-Ils se disputent pas ma puce. Ils sont amoureux, fit la jeune femme en souriant.


La petite s'approcha de son oncle et lui demanda:


-Dis tonton est-ce que John et toi vous êtes amoureux?


Ledit tonton qui était entrain de boire recracha tout sur le pauvre John qui lui dit furieux:


-McKay !
-J'y peux rien, fit Rodney, c'est à cause de Madison.
-Bon j'attends moi, fit la petite impatiente.
-Tu attends quoi? Demanda McKay.-
-Ben je veux savoir si John et toi vous êtes amoureux? Demanda sa nièce.


Les deux hommes se regardèrent en rougissant. Jeanie dit à sa fille et à son mari:


-Vous venez on va les laisser tranquilles.


Les Miller montèrent dans leur chambre tandis que le militaire et le scientifique se regardaient sans rien dire. C'est alors que John se lança:


-Rodney faut que  je vous dise quelque chose.


Il s'approcha et chuchota:


-Je t'aime.


Il prit son visage entre ses mains et l'embrassa.  Il interrompit le baiser et attendit la réaction de son canadien qui ne se fit pas attendre. Il lui répondit:


-Moi aussi je t'aime John.


Et il fondit sur la bouche du militaire pour approfondir le baiser en lui demandant l'accès à sa langue. Accès que lui donna sans hésiter le jeune brun. Les langues se mirent à danser un ballet sensuel arrachant un gémissement de plaisir chez les deux hommes puis ils l'interrompirent par manque de souffle. Sheppard était troublé mais heureux et il se demanda à haute voix:


-Je ne suis pas en train de rêver n'est-ce pas?


Rodney sourit et lui dit:


-Non tu ne rêve pas mon amour.




Il embrassa John à nouveau puis le militaire se blottit dans ses bras et lui dit:


-C'est le plus beau noël de ma vie.


Les deux amoureux s'embrassèrent puis Rodney prit sa main et ils montèrent dans la chambre du canadien.  Ils se mirent en pyjama. et Sheppard lui demanda:


-Tu es sûr de toi Rodney?
-Oui et toi?
 https://www.youtube.com/watch?v=-C_rvt0SwLE&list=PL0rWUiXm2MdFgvp_SVsLHTnbhgwZpixX7&index=98

Something about the way that you walked into my living room
Quelque chose à propos de la façon dont tu es entrée dans mon salon
Casually and confident lookin' at the mess I am
J'ai l'air décontracté et confiant en regardant le bordel que je suis.
But still you, still you want me
Mais quand même toi, tu me veux toujours.
Stress lines and cigarettes, politics and deficits
Lignes de stress et cigarettes, politique et déficits
Late bills and overages, screamin' and hollerin'
Des factures et des excédents en retard, qui crient et hurlent.
But still you, still you want me
Mais quand même toi, tu me veux toujours.
(Refrain)
Oh, I always let you down
Oh, je t'ai toujours laissée tomber
You're shattered on the ground
Tu es brisée par terre.
But still I find you there
Mais je te retrouve quand même
Next to me
À côté de moi
And oh, stupid things I do
Et oh, les choses stupides que je fais
I'm far from good, it's true
Je suis loin d'être bon, c'est vrai.
But still I find you
Mais je te retrouve quand même
Next to me (next to me)
A côté de moi (à côté de moi)


(Couplet 2)
There's something about the way that you always see the pretty view
Il y a quelque chose dans la façon dont tu vois toujours la jolie vue
Overlook the blooded mess, always lookin' effortless
Oublie le désordre sanglant, toujours sans effort.
And still you, still you want me
Et toujours toi, tu me veux toujours
I got no innocence, faith ain't no privilege
Je n'ai pas d'innocence, la foi n'est pas un privilège.
I am a deck of cards, vice or a game of hearts
Je suis un jeu de cartes, un vice ou un jeu de c½urs.
And still you, still you want me
Et toujours toi, tu me veux toujours
(Refrain)
Oh, I always let you down
Oh, je t'ai toujours laissée tomber
You're shattered on the ground
Tu es brisée par terre.
But still I find you there
Mais je te retrouve quand même
Next to me
À côté de moi
And oh, stupid things I do
Et oh, les choses stupides que je fais
I'm far from good, it's true
Je suis loin d'être bon, c'est vrai.
But still I find you
Mais je te retrouve quand même
Next to me (next to me)
A côté de moi (à côté de moi)
(Pont)
So thank you for taking a chance on me
Merci d'avoir tenté ta chance avec moi.
I know it isn't easy
Je sais que ce n'est pas facile
But I hope to be worth it (oh)
Mais j'espère en valoir la peine (oh)
So thank you for taking a chance on me
Merci d'avoir tenté ta chance avec moi.
I know it isn't easy
Je sais que ce n'est pas facile
But I hope to be worth it (oh)
Mais j'espère en valoir la peine (oh)
(Refrain)
Oh, I always let you down
Oh, je t'ai toujours laissée tomber
You're shattered on the ground
Tu es brisée par terre.
But still I find you there
Mais je te retrouve quand même
Next to me
À côté de moi
And oh, stupid things I do
Et oh, les choses stupides que je fais
I'm far from good, it's true
Je suis loin d'être bon, c'est vrai.
But still I find you
Mais je te retrouve quand même
Next to me (next to me)
A côté de moi (à côté de moi)
John ne répondit pas et posa un doigt sous le menton de Rodney, lui relevant la tête. Doucement il approcha son visage du sien et l'embrassa. Le canadien répondit à son baiser, ses mains s'infiltrant sous le haut de pyjama du militaire. John gémit sous la caresse et Rodney se mit à califourchon sur lui. Il fit glisser le vêtement par-dessus la tête du militaire et continua ses caresses. Ses mains furent bientôt remplacées par ses lèvres qui laissaient des sillons humides et brûlants sur la peau de John. Un John Sheppard qui ne savait plus où il était. Probablement perdu dans un maelström de sensations, bon sang ! Rodney lui faisait un de ces effets ! Tandis que le scientifique lui prodiguait caresse après caresse, baiser après baiser, John commença à lui déboutonner sa chemise et la lui retira. Ses mains entamèrent alors un lent ballet sur le torse de Rodney. S'arrêtant sur les mamelons qui durcirent immédiatement sous ses caresses. Puis sa main descendit plus bas et s'infiltra dans le pantalon du canadien, caressant son désir à travers le tissu de son boxer. Rodney gémit et infligea la même torture à son amant. Les hanches de John se décollèrent du lit malgré lui.


-Rodney... haleta t'il
-Oui John, fit le scientifique en se préparant à les faire basculer mais Sheppard le retint
-Non pas comme ça... murmura t'il en l'embrassant
-Tu veux que je...
-Oui, chuchota John, je te veux en moi Rodney maintenant...


Rodney ne savait pas trop quoi faire, Le militaire vit son hésitation et l'attira à lui pour un long baiser langoureux. Leurs langues se goûtèrent à nouveau et Rodney fut alors sûr. John avait confiance en lui et il le désirait plus que tout. Le scientifique retira alors son pantalon de pyjama à John et resta quelques secondes à le contempler. Puis il retira son propre pantalon et son boxer qui ne cachait rien de l'état dans lequel il se trouvait. John lui sourit et releva les jambes, lui montrant par ce geste qu'il était prêt. Rodney passa une main sous ses reins et le pénétra d'un doigt, le militaire se tendit et le canadien commença à bouger lentement en lui puis il introduisit un second doigt et repris ses mouvements. John gémit et se cambra brusquement. Le scientifique sentit qu'il était prêt à le recevoir et remplaça ses doigts par quelque chose de plus gros. John se raidit instantanément mais cela ne dura pas. Rodney amorça un lent mouvement de va et vient et le plaisir devenant de plus en plus intense pour les deux hommes, il accéléra le rythme jusqu'à atteindre le paroxysme. Les hanches de John ondulaient au même rythme que les siennes. Rodney voulait que John ressente le plaisir que lui-même éprouvait et il prit le sexe dressé de son amant dans sa main et lui imprima de rapides mouvements de bas en haut. John cria le nom de Rodney et se répandit dans sa main. Son orgasme provoqua celui de Rodney qui explosa en lui dans un cri rauque. Le scientifique se laissa retomber, épuisé, sur le torse en sueur de son amant. Il avait du mal à reprendre sa respiration, tout comme John d'ailleurs. Il se retira et roula sur le dos à côté de John.


-Merci Rodney, murmura simplement John en le serrant contre lui.
-Tout le plaisir est pour moi, répondit Rodney en souriant. 


Ils échangèrent un nouveau baiser, se remirent en pyjama puis ils s'endormirent. Le lendemain matin très tôt alors que son amant dormait profondément Rodney et Jeanie partirent en ville pour acheter des cadeaux de Noël pour son compagnon. Il discuta avec sa soeur de John et alors qu'ils s'apprêtaient à repartir le scientifique craqua pour un petit chiot. Il dit à sa soeur:


-Regarde Jeanie comme il est mignon ce petit chiot. Je suis sûr que ça ferait plaisir à John.
-Pourquoi? Il aime les chiens? Lui demanda la jeune femme.
-Oui, fit le scientifique.
-Ben vas-y prends lui, fit sa soeur.


McKay alla voir la vendeuse et 30 minutes plus tard ils repartirent avec le petit chiot. 20 minutes plus tard ils arrivèrent au domicile des Miller. Rodney déposa son précieux cadeau sous le sapin et monta dans sa chambre. Il se déshabilla, se remît en pyjama et se recoucha. Il reprit sa place auprès de son homme qui ne s'était pas encore réveillé et se rendormit. Deux heures plus tard une petite tornade vint les réveiller en sautant sur le lit:


-Debout tonton ! Le père noël est passé.
-Madisson laisse nous dormir, ronchonna le scientifique.
-On arrive ma puce, fit John.


La petite redescendit de leur lit et sortit de la chambre. John se tourna vers son petit ami et l'embrassa longuement en lui disant:


-Bonjour mon amour.
-Bonjour chaton, fit le scientifique en répondant à son baiser.
-Chaton? Fit le militaire amusé.
-Oui je trouve que ça te va bien, fit le canadien.
-Ça te va bien à toi aussi, fit John, on descend chaton?
-Oui on y va mon amour, fit-il.


Les deux hommes descendirent au salon et tout le monde se réunit autour du sapin. Jeanie et Caleb donnèrent les cadeaux à Madison qui s'extasia en les ouvrant.  Jeanie prit des photos de sa fille et une de John et Rodney tendrement enlacés et pendant que la petite jouait avec ses nouveaux jouets qu'elle avait reçu les adultes purent ouvrir leurs cadeaux. Les Miller furent beaucoup gâtés ainsi que les amoureux. De Rodney John reçu une belle montre, une gourmette avec son prénom écrit dessus, du parfum, des CD collector de Johnny Cash, un pyjama avec un chien dessus et c'est avec appréhension que le scientifique lui offrit son dernier cadeau. Il guettait la réaction de son homme. Réaction qui ne se fit pas attendre:


-Oh mon dieu Rodney qu'il est mignon. Il fallait pas.
-Je sais que tu aime les chiens alors je t'en ai offert un, fit le Canadien, et au passage c'est une petite chienne.
-Merci mon Rodney, fit l'américain en l'embrassant tendrement, je t'aime.
-Moi aussi, fit Rodney en lui rendant son baiser, tu vas l'appeler comment?
-Lizie en l'honneur d'Elisabeth.
-C'est un bel hommage que tu lui rends, fit le scientifique.


Le colonel lui sourit puis il lui donna ses cadeaux. Rodney l'embrassa tendrement pour le remercier. Il avait reçu une belle montre, une gourmette où son prénom était marqué dessus, un pyjama et toute une encyclopédie sur Albert Einstein. John caressa sa joue puis il posa quelque chose dans ses mains. En voyant ce que c'était Rodney lui demanda:


-Chaton pourquoi tu me donne tes plaques de militaire?
-C'est pour un engagement, lui dit-il, c'est un peu comme une bague de fiançailles.
-Quoi? Fit le scientifique ému.
-Rodney, fit John, tu es mon âme soeur. Tu es le seul que j'aime et je n'envisage pas ma vie sans toi. Je veux vivre avec toi le reste de mon existence.


Le canadien se blottit dans les bras de son homme trop ému pour répondre. Sheppard lui demanda:


-Veux-tu m'épouser Rodney?


Rodney n'osant y croire lui demanda:


-Tu es sûr de toi John?
-Oui, fit le militaire.
-Alors ma réponse est oui, fit McKay, je veux bien t'épouser John.


Ledit John embrassa amoureusement son homme et lui passa ses plaques militaires autour du coup. Jeanie heureuse pour son frère le serra dans ses bras ainsi que son futur-beau-frère pour les féliciter puis ils purent prendre leur petit déjeuner. Après cela les Miller leur proposèrent d'aller en ville et les deux amoureux bien sûr acceptèrent. Ils allèrent prendre leur douche qui fut très chaude. Ils ressortirent de la salle de bain 30 minutes plus tard et s'habillèrent chaudement.  Ils descendirent rejoindre les Miller au salon puis ils quittèrent la maison. Ils allèrent en ville et ils passèrent une belle journée. Rodney craqua pour un petit chaton que John lui  offrit. Il alla aussi dans une bijouterie et acheta deux alliances. Alors qu'ils repartaient Sheppard vit une chapelle et sut ce qu'il devait faire. Il prit la main de son homme et fit Signe aux Miller de les suivre.  Ils entrèrent à l'intérieur et le colonel s'entretint avec le prêtre. Après cela l'Américain alla chercher son petit ami qui lui demanda:Un Noël magique:OS-Rodney es-tu toujours d'accord pour m'épouser?
-Plus que jamais, répondit le scientifique, pourquoi?
-Parce que le père Morisson est prêt pour nous unir, fit le militaire.
-Quand? Maintenant? Fit McKay.
-Oui Rodney, fit le jeune brun.
-Oui d'accord, fit le scientifique,


Les deux hommes allèrent auprès de l'homme d'église qui unit les deux amoureux. Après s'être juré amour et fidélité John et Rodney s'échangèrent les alliances. Une demi-heure plus tard tous les 5 sortirent de la chapelle et allèrent au restaurant pour fêter cela. Ils rentrèrent au bout de 3 h et après avoir fait manger leurs animaux le jeune couple monta dans leur chambre pour préparer leurs affaires car le lendemain ils devaient repartir sur Atlantis. Une fois leurs affaires prêtes Sheppard démontra à son mari tout l'amour qu'il éprouvait et après l'avoir aimé une partie de la nuit ils finirent par s'endormir. Le lendemain après une séparation remplie d'émotions les deux amoureux quittèrent le domicile des Miller le coeur lourd en leur promettant de revenir aux prochaines vacances. Dans l'avion qui les ramenaient à Cheyenne Mountain Rodney repensait à ces deux jours qui venait de passer. Il caressa son alliance en souriant et John qui avait vu son geste lui dit:


-Tu m'as l'air heureux mon Rodney.
-Oh oui très heureux même, lui dit-il, parce que je t'aime et parce qu'on est marié.
-Moi aussi je suis très heureux mon amour, fit le militaire en l'embrassant.
-Mais dis-moi mon chaton comment on va faire quand on sera sur Atlantis? Demanda le scientifique anxieux.
-Comme maintenant mon Rodney, fit John, et puis la loi du DADT a été aboli par Obama alors on a rien à craindre. J'ai trouvé des quartiers plus grand et si tu veux on peux s'y installer dès qu'on arrive.
-Je veux bien oui, fit Rodney.


Les deux hommes échangèrent un long baiser puis l'avion se posa sur la piste d'atterrissage. Ils allèrent au SGC et après leur visite médicale obligatoire ils purent partir sur Atlantis. Quand ils arrivèrent John surprit une conversation qui ne lui plût pas. Caldwell voulait que l'équipe de SGA aille explorer une planète où il y avait des Wraiths. Lorne opposait son refus et le colonel lui dit:


-Major jusqu'à nouvel ordre c'est moi qui commande ici !


Ne pouvant plus supporter davantage John intervint:


-Vous vous trompez Caldwell ! C'est moi le dirigeant de cette cité  et je reprends aussitôt la direction. Vous n'avez pas pu vous empêcher de changer certaines choses hein?
-Eh bien oui, fit Caldwell, il fallait bien.
-Ecoutez-moi bien colonel je ne vais pas vous le dire deux fois: Jusqu'à nouvel ordre c'est moi qui dirige cette cité alors maintenant vous pouvez disposer et laissez-moi retrouver mon équipe, fit le jeune brun froidement.
-Très bien Sheppard, fit le militaire, mais on en restera pas là.


Caldwell quitta le bureau et John fit à son homme de s'asseoir. Il prit la parole:


-Bonjour à tous. Ça fait du bien de vous revoir.
-Nous aussi John, fit Teyla.
-Avez-vous passé de bonnes fêtes? Leur demanda le jeune brun.
-Oui Mr et vous? Demanda Lorne.
-Oui, fit John.


Il s'empara de la main de Rodney et leur dit:


-On a quelque chose à vous dire: Voilà Rodney et moi sommes ensemble et nous nous sommes mariés hier.
-Enfin, fit Ronon, c'est pas trop tôt.
-Hein? Mais qu'est-ce que vous voulez dire par là? Demanda Sheppard.
-Eh bien ça fait longtemps que vous vous tourniez autour, fit Lorne, et on se demandait quand est-ce que vous alliez vous déclarer.
-C'est fait apparemment, fit Teyla, en tout cas toutes nos félicitations.
-Merci, fit le colonel, j'aimerais vous demander quelque chose.
-Allez-y, fit le satedien.
-Je voudrais que vous protégiez et que vous veillez sur Rodney, fit le militaire, lors des missions.
-Hein? Mais John je sais me défendre, protesta Rodney.
-Je sais mon amour, fit le jeune brun, mais je serais beaucoup plus rassuré si quelqu'un pourrait veiller sur toi car je ne participe plus aux missions.
-D'accord, fit le scientifique en soupirant.
-Ne vous inquiétez on prendra soin de lui Mr, fit Lorne.
-J'en doute pas Lorne, fit Sheppard, bien est-ce que vous voulez me donner un coup de main pour déménager nos affaires dans un quartier plus grand?
-Avec plaisir, Sheppard, fit Ronon.


Pendant près de 3 h l'équipe de SGA donna un coup de main aux jeunes mariés mais ils ne virent pas que quelqu'un les espionnait. Ils ne virent pas non plus cette même personne contacter Caldwell. Après leur déménagement John et Rodney prirent une longue douche relaxante puis après s'être habillé ils partirent au mess main dans la main avec la petite Lizzie qui les suivaient. Alors qu'ils s'apprêtaient à prendre le plateau pour leur repas Caldwell fit son apparition avec des militaires. Il leur dit en montrant John:


-Emparez-vous de lui !


Aussitôt les hommes de Caldwell entourèrent le jeune brun et pointèrent leur arme sur lui. Sheppard leur dit:


-Non mais c'est quoi ce cirque?
-Colonel je vous arrête, fit Caldwell.
-Et pourquoi donc? Fit Rodney qui s'était mit devant son mari pour le protéger.
-Tout simplement parce que vous vous êtes mariés, fit le colonel dégoûté.


Et alors que John s'apprêtait à dire quelque chose une voix les interrompit:


-Qu'est-ce que ça peut vous faire? Fit O'Neill, ils ont le droit de s'aimer.
-Comment ça? Fit Caldwell.
-Depuis que la loi du DADT à été dissoute, fit le Dr Jackson.


O'Neill montra le document au militaire qui devint blanc.  Il lui dit:



-Le colonel et Mckay ne sont pas les seuls à être en couple. Le Dr Jackson et moi-même sommes en couple.
-Moi aussi, fit le Mjor Lorne, avec Zelenka.


Tout le monde fut étonné puis Rodney demanda à Caldwell:


-Au fait comment saviez-vous que John et moi...
-Par moi, fit Miller en coupant le scientifique, si je n'obéissais pas il me renvoyait sur terre.
-Caldwell vous êtes démis de vos fonctions, fit O'Neill.


Jack O'Neill se tourna vers John et Rodney et leur dit:


-Soyez sans crainte. Vous pouvez vous aimer librement.


Il leur fit un clin d'oeil puis il prit la main de Jackson dans la sienne et ils quittèrent la cité avec Miller. Rodney posa son plateau, prit John par la veste et l'embrassa avec fougue. Le militaire gémit, passa ses bras autour du cou de son mari pour le rapprocher de lui et répondit à son baiser avec fièvre. Toutes les personnes résident à la cité applaudirent et les deux hommes se séparèrent par manque de souffle. John posa son front contre celui de Rodney et lui dit:


-Je t'aime mon Rodney.
-Moi aussi je t'aime John, fit le scientifique.


Ils se sourirent tendrement puis ils allèrent rejoindre leurs amis pour manger. Lizzie se mit en boule aux pieds de son maître et s'endormit. l'équipe mangea dans la bonne humeur en échangeant des plaisanteries et après le dessert ils rejoignirent leurs quartiers. Rodney joua avec son petit chat quelques instant avant d'aller rejoindre John au balcon. Le militaire regardait la cité éclairée et sourit quand il sentit son homme se serrer contre lui. Il se retourna et ensembles ils entrèrent dans la chambre pour aller se coucher. Ils avaient toute la vie pour s'aimer et ils savaient que par moment ça serait difficile à cause de la menace qui pesait sur eux mais ils avaient foi en l'avenir. Et c'est ensemble qu'ils entamaient un nouveau chapitre de leur vie.
Un Noël magique:OS
Tags : John Sheppard ❤, Rodney McKay ❤, un noel magique, OS ❤️, Stargate Atlantis ! ♥
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#Posté le jeudi 31 octobre 2019 05:13

Modifié le lundi 18 novembre 2019 13:24

L'amour est un sentiment qui peut faire mal: OS


L'amour est un sentiment qui peut faire mal: OSCela faisait un moment que John était réveillé. Il regardait son scientifique dormir. Attendri il caressa son visage et constata que son Rodney était fiévreux. Ce qu'il craignait était arrivé. Son compagnon était malade. Il avait attrapé son rhume et il avait une respiration sifflante. Il espérait que ça ne se transforme pas ou en bronchite ou en pneumonie. Et dire qu'il avait fallut que John soit à l'article de la mort pour que les deux hommes prennent conscience de leurs sentiments.
Flash-back
Ce matin-là l'équipe de SGA-1 devait partir en exploration sur la planète MX640 pour négocier des vivres et une possible alliance avec le peuple de cette planète. John se leva avec beaucoup de mal. Depuis quelques temps il se sentait pas bien. Alors qu'il se dirigeait vers la salle de bain pour aller se doucher il fut terrassé par une quinte de toux assez violente. Bordel ! si cela continuait y passer. Quelques minutes après que cela soit passé il alla prendre sa douche et comme par hasard il éternua. Il ressortit quelques minutes plus tard et s'habilla. Une fois prêt il alla au mess et ne prit qu'un café car il n'avait pas faim. Alors qu'il alla s'asseoir Rodney le rejoignit et lui dit:
 
-Bonjour John. Vous n'avez pas oublié le briefing de ce matin?
-Bonjour Rodney, fit le jeune militaire en toussant, non je n'ai pas oublié.
-Vous êtes sûr que vous allez bien? Demanda le canadien vous êtes pâle.
-Oui je vais bien ce n'est...Commença t'il.
 
Il ne pût continuer car il fut prit d'une violente quinte de toux. Rodney posa sa main sur le front de son ami et dit d'un ton inquiet:

-Vous êtes brûlant de fièvre John.
-Qui est brûlant de fièvre? Demanda Elisabeth Weir.
-Le colonel Sheppard, fit le scientifique.
-Ça va aller, fit John, c'est juste un...atchoum ! Atchoum ! Atchoum !
-Allez vous reposer John, fit la diplomate, le briefing est à 10h.
-D'accord, fit le militaire.
 
L'américain se leva et partit se reposer dans ses quartiers. 1 h plus tard Rodney partit chercher son ami et fut inquiet car il ne répondait pas. Ronon qui passait par là lui demanda:
 
-Que faites-vous là McKay?
-Je suis inquiet car John ne répond pas, fit le scientifique, il n'était pas bien tout à l'heure.
-Ouvrez sa porte et allons voir, fit l'ancien Runner.
 
Rodney ouvrit la porte et les deux hommes entrèrent à l'intérieur. le scientifique s'approcha du lit où se reposait le militaire et vit qu'il n'allait pas du tout bien. Le canadien se tourna vers le Satedien et lui dit d'une voix inquiète:
 
-Il faut vite l'emmener auprès de Carson.
-Ok, fit Ronon.
 
Il prit John dans ses bras et suivit de Rodney il alla à l'infirmerie. Quand il les vit arriver Carson leur demanda:
 
-Qu'est-ce qu'il se passe?
-Le colonel, ne va pas bien, fit le scientifique.
-Déposez-le sur le lit ! Ordonna le médecin, je vais l'ausculter.
 
Le satédien déposa son ami sur le lit et sortit avec Rodney. Carson ausculta John et fit la grimace. Ce n'était pas bon signe. il avait 40,8° de fièvre. Elisabeth qui avait été averti par Rodney accourut à l'infirmerie et demanda au médecin:
 
-Alors Carson de quoi souffre le colonel?
 
Tour à tour l'écossais regarda ses amis et leur dit:
 

-Un état fébrile, avec une fièvre relativement élevée, ;des frissons, souvent conséquence d'une fièvre sous-jacente ;d'une toux grasse ;une respiration sifflante et des essoufflements ;des douleurs thoraciques ;une augmentation du rythme cardiaque ;des nausées et vomissements. Tout ce que je viens de vous décrire là sont les symptômes d'une pneumopathie. C'est ce dont souffre le colonel.
-Oh mon dieu, fit Rodney, sa fièvre est de combien?
-40,8°, fit Carson.


Elisabeth posa sa main sur le front du militaire et dit au médecin:


-Faites tout ce qui est nécessaire pour sauver le colonel.
-Bien sûr, fit le jeune médecin.
-Bien en attendant ça sera l'équipe du major Lorne qui assurera les missions inter-galactiques le temps que le colonel aille mieux, fit la diplomate.
-Très bien Elisabeth, fit Teyla.


Le Dr Weir quitta les lieux et alors que Ronon et l'athosienne allaient partir la jeune femme demanda à Rodney:


-Vous venez Rodney?
-Non je vais rester un peu, fit le scientifique.
-Très bien. A plus tard alors, fit Teyla.


Les deux jeunes gens quittèrent l'infirmerie et laissèrent leur ami au chevet du colonel.  Le scientifique prit un gant, le mouilla et le posa sur le front de son ami. Plus il le regardait plus il tombait amoureux de ce militaire borné. Il ne se passait pas un seul jour sans qu'il reste là à le veiller. La fièvre de l'américain était toujours aussi forte. Par moment John délirait et Rodney était impuissant. Deux semaines passa et voyant qu'il n'avait pas quitté son poste Carson demanda à son ami:


-Pourquoi n'allez-vous pas vous reposer Rodney?
-Je ne peux pas le laisser, fit le scientifique.
-Pourquoi mon grand? Demanda le médecin.
-Parce que j'aime John et je ne peux pas me séparer de lui, fit le canadien.
-Oh je comprends, fit l'écossais d'un air triste.


Il tourna le dos et ravala ses larmes. Rodney lui demanda:


-Vous croyez que je peux lui dire ce que je ressens pour lui?
-Oui bien sûr, fit Carson.


Il alla dans son bureau pour laisser de l'intimité à son ami. Le scientifique prit la main du militaire dans la sienne et commença à parler:


-John s'il te plait bats toi. Tu dois combattre cette putain de maladie. Je t'aime et je ne peux pas vivre sans toi mon amour. Je t'aime.


Il déposa un baiser sur les lèvres de l'homme qui faisait battre son coeur et poussa un soupir. John avait sombré dans l'inconscience depuis trois jours. Rodney se leva et alla voir Carson et lui dit:
 
-Carson j'ai deux idées à vous soumettre pour faire baisser la fièvre de John.
-Allez-y Rodney je vous écoute, fit le médecin.
-La première c'est de le plonger dans de l'eau froide, fit le scientifique, et si la première solution ne fonctionne pas je propose de lui faire baisser en collant mon corps contre la sien.

L'Écossais le regarda avec surprise et débrancha Sheppard de sa perfusion. Le canadien prit le militaire dans ses bras et le porta jusqu'à la salle de bain. Carson prépara l'eau du bain et le scientifique plongea l'Américain dans l'eau froide. Le scientifique resta avec son amour . Il toucha le front de son ami et enleva ses cheveux qui étaient collés. Au bout de 10 minutes le canadien le sortit de l'eau et Carson l'enveloppa dans une serviette. Il dit à son ami:


-Il frissonne et son corps est froid mais la fièvre est toujours là.
-Emmenons le dans son lit et on opte pour la seconde  solution, fit le scientifique.
-Rodney vous êtes sûr  de vouloir faire ça? Demanda Beckett.
-Oui je veux le faire, fit le canadien,  je l'aime Carson vous comprenez?
-Oui je comprends, fit le médecin peiné.


Ils emmenèrent le colonel jusqu'au lit et Rodney le déposa délicatement sur le côté en lui enlevant la serviette. En voyant le corps nu de son futur amant le scientifique rougit et frissonna. Il se déshabilla et se coucha sur le coté face à Sheppard et se colla à lui. Dans son inconscience comme si il avait sentit le scientifique John le rapprocha encore plus de lui. Les érections des deux hommes se touchèrent et soudain le militaire poussa un gémissement:


-Mmmhhhhh.
-Oh mon dieu ! Fit Rodney paniqué et en s'éloignant du corps de son amoureux, Carson qu'est-ce que je dois faire?
-Allons Rodney, fit Beckett sèchement, laissez-vous faire.
-D'a...D'accord, fit le scientifique.


Il se rapprocha du corps de son futur amant et à nouveau leurs érections se touchèrent. Soudain un nouveau gémissement de John se fit entendre:


-Mmmmmhhhhh ! Rodney !


Le scientifique ne savait plus comment se comporter. Il se tourna vers Carson et lui dit:


-Vous avez entendu Carson?
-Oui j'ai entendu Rodney, fit l'écossais tristement.


Mckay reporta son attention vers le militaire et vit qu'il était réveillé.  John le regarda avec appréhension et se demanda si il ne rêvait pas. Rodney lui dit d'un ton hésitant:


-Bonjour John.


Carson s'avança vers le lit et demanda à sheppard:


-Bonjour colonel. Comment vous sentez-vous?
-Un peu mieux, fit John d'une voix enrouée.
-Bien je vais vous examiner, fit le médecin, Rodney pouvez-vous nous laisser?
-Non, fit le colonel, laissez-le. Il peut rester.


John avait ses doigts entrelacés à ceux de Rodney et ne voulait pas le lâcher.  L'écossais abandonna et ausculta le militaire. Il le fit tousser et prit sa température. la fièvre avait baissé. Il lui dit:


-Vous êtes hors de danger. Votre pneumopathie s'est transformée en bronchite et votre fièvre a baissée. Néanmoins vous devez encore rester à l'infirmerie.
-Merci Carson, fit Sheppard.
-De rien mon grand, fit Beckett.


C'est alors qu'il réalisa une chose. Il réalisa qu'il était nu et Rodney aussi. Il rougit et se cacha sous les draps. Il ressortit la tête aussitôt car il avait vu que son ami était en "forme ". Gêné il demanda:


-Comment se fait-il que Rodney et moi soyons nus?
-Eh bien il a fallut vous faire baisser la fièvre, fit Carson, d'abord on vous a plongé dans un bain d'eau froide puis Rodney vous a donné de sa chaleur corporelle et ça a fonctionné car votre température a baissé.
-Ah ben merci Rodney, fit le militaire encore gêné.
-De rien John, fit Rodney mal à l'aise lui aussi.


John demanda:


-Est-ce que je peux avoir mes affaires?
-Oui tenez, fit le médecin.


Beckett tendit les vêtements aux deux hommes. Rodney se rhabilla et le militaire en profita pour mater son ami. Il put voir qu'il avait un joli fessier et qu'il voulait le toucher. Il avait aimé ce contact de peau contre peau avec le scientifique et il souhaitait renouveler l'expérience. Beckett ne pouvant supporter davantage leur dit durement:


-Je vais prévenir Elisabeth que vous allez mieux.


Après son départ les deux hommes ne comprirent pas l'attitude de leur ami.  John se recoucha et bien sûr dans la journée il reçut la visite des membres de son équipe et celle d'Elisabeth. la diplomate était heureuse de voir que son ami allait mieux. La première nuit ne fut pas de tout repos pour le militaire. Il repensait à Rodney, à la déclaration qu'il avait entendu et bien sûr à tour de rôle Carson et les infirmières passaient régulièrement contrôler son état.  Le lendemain il put prendre un petit déjeuner et peu après il reçut la visite de Zelenka et de Lorne. Il les salua:


-Bonjour Radek, bonjour Evan.
-Bonjour colonel, fit le Tchèque.
-Bonjour Monsieur, fit le major, comment allez-vous?
-Je vais bien merci, fit John.


Le militaire remarqua que quelque chose avait changé chez les deux hommes. Ils se regardaient avec amour. Il les enviait car il voudrait que ça soit pareil entre lui et un certain scientifique alors il osa une question:


-Comment avez-vous su  pour vous deux?


Le major regarda son supérieur et lui demanda:


-Seriez-vous amoureux colonel Sheppard?
-Oui de Rodney, fit-il dans un souffle, pendant que j'étais inconscient j'ai tout entendu ce qu'il a dit. J'ai même apprécié le baiser qu'il m'a donné et ce corps à corps quand il s'est collé à moi pour faire baisser ma fièvre.
-Pourquoi ne pas lui dire ce que vous ressentez colonel? Fit Zelenka.
-Je ne peux pas, fit l'américain.
-Et pourquoi  Monsieur? Lui demanda Lorne.
-A cause de cette fichue loi major, fit Sheppard.


Carson qui avait entendu tout cela n'en supporta davantage. Il sortit de l'infirmerie en courant. Ses larmes coulaient et il arriva au balcon en pleurant. Cela lui faisait trop mal de savoir que John et Rodney étaient amoureux l'un de l'autre car lui même était épris du canadien depuis que celui-ci l'avait embrassé sous l'emprise de Laura Caldman. Ça le faisait drôlement souffrir. Et aussi il était tombé amoureux de John. Soudain il sentit une présence à ses côtés. Il essuya ses larmes et vit Teyla qui lui sourit. Elle lui demanda:


-Que vous arrive t'il Carson?


l'écossais soupira et se confia à l'athosienne. Après son récit la jeune femme posa sa main sur son épaule et lui dit:


-Dr Beckkett je compatis à votre souffrance et malheureusement je ne peux pas vous apporter de réponse car je sais que John et Rodney sont des âmes-soeurs et qu'ils s'aiment.
-Je le sais mais ça fait mal, fit-il en sentant ses larmes revenir.
-un jour vous rencontrerez l'amour, lui dit-elle.


Carson lui sourit et se perdit à nouveau dans ses pensées. Pendant ce temps là à l'infirmerie Lorne et Radek  s'apprêtaient à repartir. Le major avait rassuré son supérieur. John qui s'ennuyait leur demanda qu'on lui ramène sa tablette et son téléphone portable. Lorne regarda son amant en souriant et dit à son supérieur qu'il allait faire le nécessaire. 20 minutes plus tard il reçut la visite de Rodney qui lui ramena ses affaires avec du chocolat. Il lui dit:


-Bonjour Rodney. Merci de m'avoir emmené ma tablette et mon portable. J'avoue que je commençais à m'ennuyer. Oh mais c'est du chocolat je rêve pas?
-Non vous ne rêvez pas colonel c'est bien du chocolat, fit le scientifique en lui tendant la friandise.
-Merci Rodney, fit le militaire.


Il tapota le lit et lui dit:


-Asseyez-vous Rodney on a à parler.


Le canadien fit ce que lui demanda son ami. Ledit ami prit sa main dans la sienne, entrelaça ses doigts aux siens et lui dit:


-Rodney j'ai tout entendu pendant que j'étais inconscient et j'ai même senti le baiser que tu m'as donné. Je t'aime Rodney McKay.


John posa ses mains sur les joues du canadien et l'embrassa tendrement. De tendre le baiser devint fiévreux. Rodney passa ses mains autour du coup de son homme et approfondit le baiser. Il demanda l'accès à sa langue que le colonel lui accorda sans hésiter. Elles se mirent à danser un ballet sensuel puis ils l'interrompirent par manque de souffle. Le scientifique se blottit dans les bras de son futur amant et lui dit:


-Si tu savais combien je suis heureux John.
-Moi aussi mon amour, fit le militaire.


Il reprit possession des lèvres de son amour et ils furent interrompu par la voix glaciale de Carson qui leur dit:


-Non mais où est-ce que vous vous croyez tous les deux? Mon infirmerie n'est pas un bordel que je sache !


John lui demanda:


-Carson je peux savoir ce qu'il vous arrive?


Le médecin lui lança un regard noir puis il partit dans son bureau. Rodney ne comprenait pas l'attitude de son ami. Que lui arrivait-il? Il laissa ce problème de côté et décida de s'occuper de son futur amant. Il posa ses lèvres sur celles de son  homme et l'embrassa tout en lui arrachant un gémissement. John posa son front contre celui de son amoureux et lui sourit. Au même moment Carson revint et lui dit:


-Vous pouvez regagnez vos quartiers colonel.
-Euh vous êtes sûr? Lui demanda le militaire, parce que hier vous m'avez dit que je devais rester une semaine.
-J'ai changé d'avis, fit l'écossais un peu brusquement.
-Bon ben d'accord. Je m'habille et je regagne mes quartiers, fit Sheppard déstabilisé par le ton de son ami.


Il se tourna vers Rodney et lui dit:


-Tu me fais passer mes affaires mon amour?
-Oui bien sûr chaton, fit Rodney.


Ils se firent un sourire puis l'américain s'habilla. Quelques minutes plus tard il était prêt et après avoir récupéré son traitement il put partir. La main de Rodney était dans la sienne. Il lui demanda:


-Tu veux venir dans mes quartiers?
-Oui bien sûr, fit le scientifique.


Ils parcoururent quelques mètres et ils se retrouvèrent devant les quartiers du militaire. Le jeune brun ouvrit la porte grâce à son gène et ils entrèrent. Il posa ses affaires et alla s'asseoir sur son lit. Il fit signe au scientifique de le rejoindre et ils se retrouvèrent face à face. John n'en croyait pas ses yeux. Il était avec Rodney. Il sentit ses larmes sur le point de couler. Il ne fit rien pour les retenir. Le canadien paniqué lui demanda:


-John mon amour pourquoi tu pleure?
-Parce que... Parce que j'ai du mal à réaliser ce qu'il m'arrive, lâcha t'il dans un souffle.
-Et pourtant tu ne rêve pas mon amour, fit le scientifique, on est bien ensemble.
L'amour est un sentiment qui peut faire mal: OSJohn hocha la tête, à nouveau au bord des larmes. Puis, doucement il leva les yeux et son regard rencontra celui de Rodney. Instantanément ils se nouèrent, le bleu dans le vert. Une étrange lueur traversa celui du militaire et, mû par une impulsion subite, il rapprocha son visage de celui du canadien. Rodney ne bougeait pas et retenait son souffle, se demandant ce qui allait se passer et surtout ce qu'il se passait dans la tête du militaire à cet instant précis. John posa lentement les lèvres sur celles du canadien et timidement l'embrassa. Puis il passa une main sur la nuque du scientifique pour l'inciter à répondre à son baiser. Pendant une fraction de seconde, Rodney hésita et finalement se laissa aller et répondit. Il entrouvrit les lèvres et la langue de John s'engouffra dans sa bouche à la recherche de la sienne. Elles se trouvèrent et pendant quelques minutes ne se quittèrent plus, tournant et retournant dans les bouches, en explorant chaque recoin. John gémit et se colla un peu plus à Rodney qui avait glissé ses mains dans le dos du militaire, le caressant doucement.
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Puis, aussi brusquement qu'il avait commencé, le baiser cessa et les deux hommes se séparèrent. Tout en reprenant leur souffle, ils se dévisageaient, cherchant à comprendre ce qu'ils avaient ressenti l'un et l'autre pendant cet échange. Et, sans prévenir, ils refondirent l'un sur l'autre. Sans échanger aucune parole, seuls les gestes comptaient. Ils s'embrassèrent fougueusement d'une manière presque brutale. Sans vraiment s'en rendre compte ils se laissèrent tomber sur le lit tout en continuant de s'embrasser. Les vestes tombèrent au sol, les mains se frayèrent un chemin sous les t-shirts, touchant caressant, goûtant pour la première fois. Doucement John allongea Rodney sur le lit et se mit à califourchon sur lui. Il fit glisser son t-shirt par-dessus sa tête et parcouru son torse de baisers brûlants. Le canadien gémit et se cambra lorsqu'il atteignit le bas-ventre. Toujours sans prononcer un mot le militaire entreprit de lui retirer son pantalon qu'il fit glisser jusqu'à ses chevilles. Il posa la main sur la bosse qui déformait le caleçon de Rodney et commença à le caresser lascivement. Rodney haletait et gémissait, ses hanches ondulant au même rythme que la main de John.

-John... gémit Rodney n'y tenant plus
-shhht, souffla John en faisant glisser le sous vêtement sur les cuisses du canadien, libérant son membre tendu de désir.

Puis, sans quitter du regard les yeux du canadien, le militaire entreprit de se déshabiller. Puis d'un geste, il l'incita à se retourner. Excité Rodney obéit attendant et redoutant à la fois ce qui allait se passer. John se plaça au dessus du scientifique, glissa une main sous son ventre et le redressa légèrement. Puis d'un puissant coup de rein il le pénétra. Rodney poussa un cri de douleur et se raidit. Sheppard amorça alors un lent mouvement de va et viens et Rodney sentit la douleur s'amenuiser se transformant petit à petit en un plaisir de plus en plus intense à mesure que les coups de reins du militaire s'accéléraient et se faisaient erratiques. Afin que Rodney ressente autant de plaisir que lui, il pris son sexe fièrement dressé dans sa main et lui imprima un rapide mouvement de vas et viens. Rodney poussa un cri rauque, se cambra et jouit dans la main de son amant. Ce qui provoqua son orgasme et, dans un dernier coup de rein, John arqua les reins et explosa en Rodney. Puis il se laissa retomber essoufflé sur le dos couvert de sueur du scientifique. Il l'entoura de ses bras et ils demeurèrent ainsi pendant de longues secondes. Puis John se retira et vint se blottir dans les bras de son amant.. Rodney, quand à lui  caressa les cheveux de son petit ami et lui demanda:


-Tu te sens mieux mon amour?
-Oui, fit le militaire .


Il rabattit la couette sur eux et s'endormit. le canadien déposa un baiser sur son front et s'endormit à son tour le sourire aux lèvres.
Fin du flash-back.
Voilà près d'un mois que les deux amis étaient en couple et John se sentait l'homme le plus heureux du monde. Rien n'avait changé et pendant les missions ils prenaient soin l'un de l'autre. Il se leva, prit son oreillette et appela Carson:


-Carson ici Sheppard.
-Oui colonel? Fit le médecin.
-Pouvez-vous venir dans mes quartiers s'il vous plaît? Fit le colonel, Rodney a de la fièvre.
-Oui j'arrive, fit l'écossais, terminé.


John posa son oreillette et alla vite se préparer.  Quand il ressortit Carson arriva. Le médecin alla auprès de son ami et l'ausculta. Après son examen il dit à Sheppard:


-Rodney a une bronchite. Il faut l'emmener à l'infirmerie.
-Ok je l'emmène, fit le militaire.


Il prit Rodney dans ses bras et l'emmena à l'infirmerie. Il le déposa délicatement sur le lit et  caressa la joue de son compagnon en murmurant:


-Je t'aime mon amour.
-Vous pouvez nous laisser maintenant colonel, fit Beckett.
-D'accord, fit Sheppard, je reviendrais au retour de la mission.


Le coeur lourd l'américain sortit de l'infirmerie et partit se préparer pour la mission intergalactique. C'était la première fois qu'il partait sans Rodney. Il allait lui manquer sur le terrain. Une demi-heure plus tard il était devant la porte des étoiles avec Ronon, Teyla et le Dr Bruce Esposito. Ils franchirent le vortex et arrivèrent sur la planète. Ils marchaient environ depuis 1 heure quand John s'arrêta. Le scientifique exaspéré lui demanda:


-Pourquoi est-ce que vous vous arrêtez?
-J'ai un mauvais pressentiment, fit John passablement énervé, il faut regagner la porte des étoiles.
-Mais non vous vous inquiétez pour rien Sheppard, fit le scientifique.


Et alors qu'il s'apprêtait à reprendre la marche le militaire le prit sans ménagement et ils repartirent vers la porte des étoiles. Mais à 500 m de l'arrivée ce fut le drame. Il y eut une explosion. Le souffle envoya John valser à plusieurs centaines de mètres de son équipe et sa tête vint heurter un arbre. Sous la violence du choc il perdit connaissance. Quelques minutes plus tard Ronon, Teyla et Esposito reprirent connaissance. Le Runner demanda à la jeune femme:


-Vous allez bien Teyla?
-Oui Ronon, fit l'athosienne, et vous?
-Oui, fit-il.
-Mais où est John? Fit la jeune femme.


Il regarda partout et ne vit aucune trace de John. Les deux jeunes gens l'appelèrent:


-John ! John ! Où êtes-vous?
-Il faut partir à sa recherche, fit Teyla.
-Quoi? Fit Esposito, surement pas. Il faut retourner sur Atlantis.
-Oh vous la ferme, fit Ronon, on ne repartira pas tant qu'on ne sera pas ce qui est arrivé à notre ami.


Pendant plusieurs heures ils cherchèrent où avaient pu passer le colonel et c'est le c½ur brisé qu'ils repartirent pour Atlantis. Ils avaient trouvé du sang et un morceau du blouson du jeune brun. Quand ils arrivèrent sur la cité Elisabeth leur demanda:


-Que s'est-il passé? Où est John?
-On ne sait pas Elisabeth, fit Teyla, on a été séparé par une explosion.


Elle montra le morceau de blouson qu'ils avaient trouvé à la diplomate et celle-ci blêmit. Elle comprit que le militaire avait disparu. Elle versa des larmes sur son ami disparu et elle alla à l'infirmerie annoncer la mauvaise nouvelle à Carson. Celui-ci lui dit:


-Si vous voulez voir Rodney il dort encore.
-Je lui annoncerais la nouvelle quand il sera réveillé, fit la diplomate.
-Quelle nouvelle Elisabeth? demanda le médecin alerte.
-Au sujet du colonel Sheppard, fit-elle tristement, il a disparu.


A cette nouvelle Carson craqua. Non pas lui ! Et dire qu'il avait été dur avec lui ces derniers temps. Il n'avait pas pu lui dire les sentiments qu'il avait pour lui. Le plus dur fut pour eux pour annoncer la nouvelle à Rodney. Quand il apprit le scientifique sombra dans une dépression et Lorne devint le responsable de la cité mais refusa le grade de lieutenant-colonel. Teyla au fond d'elle avait espoir de revoir son ami vivant. Puis petit à petit la vie reprenait sur Atlantis. La disparition de John rapprocha Carson et Rodney et un matin toute la cité apprit que les deux hommes étaient ensemble. Lorne, teyla et Zelenka étaient malheureux ainsi que Ronon. Pendant ce temps sur la planète où ils avaient perdu leur ami le chef du village avait recueilli John et durant 3 semaines il soigna ses blessures. Il vit sur le blouson qu'il s'appelait John Sheppard et qu'il était colonel mais fut surpris de constater à son réveil que le jeune militaire ne se souvenait de rien. Il en conclut qu'il avait perdu la mémoire. John devint le chef du village car l'homme qui l'avait recueilli se faisait vieux et il avait toute confiance en lui. Les femmes essayèrent d'attirer le beau brun dans leur lit mais échouèrent car il n'était pas du tout attiré par la gent féminine. 6 mois passèrent et un jour Elisabeth demanda à l'équipe de SGA 1 d'aller sur la planète MX695 pour entamer des négociations. A l'entente de cette planète Rodney frémit et dit à la diplomate:


-Mais c'est la planète où John a disparu.
-Je sais Rodney, fit la jeune femme, mais vous devez y aller quand même pour les négociations.
-Oui d'accord, fit le scientifique en se levant, RDV devant la porte dans 30 minutes.


Il sortit du bureau de sa supérieur et alla voir Carson. Quand il arriva il vit que son amant était occupé avec le Dr Biro. Il se racla la gorge et s'excusa:


-Excusez-moi de vous déranger. Carson est-ce que je peux te voir s'il te plaît?
-Dr McKay vous voyez pas que nous sommes occupés, fit le Dr Biro.
-C'est bon Dr Biro, fit l'écossais.


Ils allèrent au bureau du médecin et Beckett lui demanda:


-Qu'est-ce qui se passe Rodney? Tu as l'air tourmenté mon amour.
-C'est Elisabeth, fit le scientifique, elle nous envoie sur la planète où John a disparu.
-Et tu as peur d'y aller c'est ça? Lui demanda t'il.
-Oui, fit le canadien, et si je disparaissais moi aussi?
-Tu n'as rien à craindre mon coeur, fit l'écossais.
-Je sais. Carson John me manque, fit le canadien au bord ses larmes.


Carson prit son compagnon dans ses bras et lui dit:


-Je sais mon ange et à moi aussi il me manque. Tu veux que je vous accompagne?
-Tu ferais çà? Lui demanda Rodney.
-Oui bien sûr, fit Beckett, qui sait ils auront besoin de mes services.
-Oui tu as raison, fit le canadien.


les deux hommes s'embrassèrent puis allèrent se préparer. Ils se retrouvèrent 30 minutes plus tard devant la porte des étoiles. Les autres membres de SGA 1 furent surpris de voir que le médecin les accompagnaient mais ils ne dirent rien. Ils traversèrent le vortex et se retrouvèrent sur la planète. Le coeur de Teyla se serra à l'évocation de la disparition de son ami mais en son honneur elle continua son chemin.  Ils s'arrêtèrent en cours de route pour permettre à Rodney de faire une pause puis ils repartirent. Au bout de 2h30 ils arrivèrent dans un village fleuri.  Un villageois s'approcha d'eux et leur souhaita la bienvenue:


-Bienvenue sur la planète Syrusia nobles étrangers. Je suis Tyrus.
-Merci pour votre accueil tyrus, fit l'athosienne, je suis Teyla Emmagan et voici mes compagnons: Le major Lorne, Les Dr McKay et Beckett et Ronon Dex.
-Je suis enchanté de faire votre connaissance Teyla Emmagan, fit Tyrus, que nous vaut l'honneur de votre visite?
-Nous somme des explorateurs à la recherche de nouveaux peuples pour devenir leur allié et pour négocier des vivres, fit la jeune femme.


Tyrus se tourna vers une jeune femme et lui demanda:


-Syrena veux-tu aller chercher John et lui dire qu'on a des invités?
-Tu crois que c'est le bon moment de le déranger? Fit la jeune femme , à cette heure-ci il doit être entrain de donner des cours de self-défense aux jeunes du village.
-Ça lui permettra de faire une pause, fit le syrusian.
-D'accord, fit la jeune syrusianne.


La jeune femme partit et revint quelques minutes plus tard avec le chef du village. Les atlantes eurent un choc en voyant le chef. Devant eux se tenait leur ami John. Ce fut Rodney qui brisa le silence:


-John c'est toi?
-Bloody hell, fit Carson.
-Je le savais au fond de moi que vous n'étiez pas mort, fit Teyla.
-Excusez-moi, fit John, mais on se connait?
-Ça c'est la meilleure, fit le scientifique, on me l'a jamais faite celle-là. Mr ne nous reconnait plus où il fait exprès.
-Rodney ! Fit Carson.


Sheppard était perdu. Il ne comprenait rien. Tyrus lui expliqua qui ils étaient et pourquoi ils étaient là. Le jeune brun leur fit signe de les suivre et Lorne entama les négociations. Le militaire l'écouta et alors qu'il s'apprêtait à lui répondre Rodney explosa:


-Ça suffit maintenant ! Arrête de faire comme si tu nous connaissais pas ! Je veux savoir où tu étais durant 6 mois.


John était complètement perdu. Il se demandait pourquoi cet homme l'agressait comme ça. Tyrus posa une main apaisante sur son bras et dit aux atlantes:
 
-On a trouvé John il y a 6 mois environ dans la foret. Il avait une vilaine blessure à la tête. Il s'est réveillé au bout de 3 semaines et ne se souvenait plus de rien.
L'amour est un sentiment qui peut faire mal: OS
De son côté Sheppard ne disait rien. Il se massait les tempes car une migraine le tiraillait. Ce fut Tyrus qui conclut la négociation et à la fin il leur proposa de rester pour partager le repas avec eux. De son côté Carson avait calmé Rodney qui était effondré suite à la nouvelle. Quand ils commencèrent à manger le médecin et le scientifique virent que le militaire touchait à peine à son repas. Il s'excusa auprès de ses invités et il sortit dehors. Il s'assit et leva la tête vers le ciel. Il fut rejoint par le canadien qui s'excusa:



-Je suis désolé d'avoir réagi comme ça mais voyez-vous mon compagnon a disparu il y a 6 mois et vous lui ressemblez beaucoup.
-Je suis désolé, fit John.
-Vous n'avez pas à vous excuser, fit Rodney, j'ai encore du mal à m'en remettre. Il nous a fallut du temps à nous mettre ensemble.
-Comment était-il? Demanda le militaire.
-John était quelqu'un de gentil et généreux et il n'avait pas peur de dire ce qu'il pensait. C'était un Séducteur-Drôle -Réfléchi -Courageux -Déterminé et borné, fit le scientifique, ce sont ces traits de caractère qui m'ont fait craquer. Il n'hésitait pas à mettre sa vie en danger pour nous protéger, pour me protéger. Il me manque tellement. Qu'est-ce que je ne donnerais pas pour pouvoir le revoir. Ses baisers me manque, sa tendresse me manque aussi. Et vous avez-vous quelqu'un dans votre vie?
-Non, fit John, car j'ai l'impression que quelqu'un manque à ma vie.


Les deux hommes se regardèrent et alors que leurs visages se rapprochaient la porte s'ouvrit violemment sur Teyla qui leur dit:


-Les Wraiths sont là. Je les sens.


Aussitôt les deux hommes se levèrent et entrèrent à l'intérieur. Tyrus donna à John son arme. Étonné l'américain lui demanda:


-Une arme? Mais qu'est-ce que...
-Vous l'aviez sur vous quand on vous a trouvé, fit le vieil homme.


Le militaire la regarda puis ils allèrent tous dehors. On pouvait entendre des cris. Le colonel tira sur les wraiths. Soudain une douleur lancinante le terrassa et ce fut le trou noir.  Quand il se réveilla la première chose qu'il vit fut Rodney qui lui tenait la main. De son autre main il caressa la joue de son scientifique qui se réveilla. Quand il vit que John avait les yeux ouverts il s'écria:


-Oh mon dieu John tu es réveillé?
-Pas si fort Rodney et oui je suis réveillé, fit le militaire en levant les yeux au ciel.


Le scientifique appela Carson:
 
-Carson ! Carson ! Mais ou est-il encore passé ce médecin vaudou?
-Du calme Rodney, fit le médecin.
 L'amour est un sentiment qui peut faire mal: OS
Puis apercevant que John était réveillé il sourit et lui dit:
 
-Bienvenue parmi nous colonel. Comment allez-vous?
-Ça va à part qu'un troupeau d'éléphant est passé sur ma tête, fit le jeune brun.
-C'est normal, fit l'écossais, vous avez été inconscient trois jours.
-Attends John ça veut dire que tu te souviens de moi? Demanda Rodney surpris.
-Ben oui pourquoi? Je devrais pas? Demanda le militaire étonné.
 
Carson expliqua tout ce qui s'était passé pendant ces six mois en dehors du fait qu'il avait couché avec Rodney. Cela il le passa sous silence. John soupira:
 
-Eh bien il s'en est passé des choses dites-moi.
-Oui, fit Rodney en fuyant son regard.
-Je vais vous laisser, fit le médecin, vous avez des choses à vous dire.
-Moi aussi, fit le scientifique, je repasserais te voir John.
-D'accord, fit le colonel tracassé.


Les deux hommes partirent laissant le militaire préoccupé. Mais que diable se passait-il dans la tête de son compagnon? Pourquoi le fuyait-il? Pourquoi ne l'avait-il pas embrassé?  Il se reposa et enfin d'après midi il reçut la visite de son équipe et de ses hommes mais aucunes nouvelles de son amant. Cela lui fit très mal. Ce fut le surlendemain qu'il apprit la nouvelle qui le terrassa. Il entendit la voix de son homme et celle du médecin qui se disputaient. Rodney lui disait:


-Mais attends Carson je vais pas lui dire comme ça: tiens chéri tu sais ce que j'ai fait pendant ces six mois eh bien j'ai couché avec notre médecin.


Le verre que tenait le militaire alla se fracasser par terre. Non pas ça ! Ils n'avaient pas fait ça ! Il descendit le long du mur et s'assit parterre. Il plia ses genoux et posa sa tête sur ses bras. Les larmes se mirent à couler et il pleura en poussant des gémissements de douleurs. Alors que les deux autres hommes continuaient à parler Carson fit signe à son amant de se taire. Il sortit de son bureau suivi du scientifique et vit le colonel assis contre le mur entrain de pleurer. Rodney posa sa main sur l'épaule de son en lui demandant:


-Chaton? Qu'est-ce qui se passe?
-Colonel est-ce que tout va bien? Demanda l'écossais.

John releva la tête et ce que vit son amant dans ses yeux lui fit mal. Le scientifique avait vu de la douleur dans ses beaux yeux verts. Il lui demanda:

-Mon amour dis-moi ce qui ne va pas?
-Comment as-tu pu me faire une chose pareille? Comment avez-vous pu me faire ça? Fit le militaire les yeux pleins de rage.
-De quoi mon chaton? Fit le Canadien.
-Tu m'as trompé avec Carson ! Claqua la voix du militaire, tu n'es qu'un salaud Rodney !
-Attends John je te croyais mort, fit Rodney qui commençait à s'énerver.
-Dis aussi que c'est de ma faute, fit John en colère, je te signale au passage que j'avais perdu la mémoire. Donc par conséquent je ne pouvais plus revenir dans la cité.
-Messieurs calmez-vous s'il vous plaît ! Fit Carson.
-Tout ça c'est de votre faute ! Fit Sheppard au médecin.

Le militaire se leva et il s'apprêtait à partir quand Rodney l'arrêta:

-John chéri? Où tu vas?

L'américain poussa violemment son amant en lui disant:

-Laisses-moi! Ne me touche plus !

John partit en courant et en pleurant jusqu'à ses quartiers. Il ouvrit la porte grâce à son gène et se jeta sur son lit. Il éclata en sanglots et se jura de ne plus accorder son c½ur à quiconque car il était brisé. Il finit par s'endormir. De son côté Rodney était malheureux car il venait de comprendre qu'il avait perdu John pour de bon. Carson malheureux pour son amant lui dit:

-Ne perds pas espoir Rodney tout finira par s'arranger.
-Je l'espère Carson, fit le scientifique tristement, je ne peux pas vivre sans lui et j'ai un mauvais pressentiment.

Le médecin acquiesça. Lui aussi avait ce mauvais pressentiment. Le canadien sortit de l'infirmerie et alors qu'il passait devant les quartiers de son amant il l'entendit pleurer. Son coeur se serra face aux sanglots de son homme. Il voulut aller le voir mais il savait que si il y allait il se ferait éjecter. C'est le coeur brisé qu'il continua son chemin. Ils passèrent une mauvaise nuit. En fait durant un mois John fit vivre un enfer aux atlantes et pour se venger de la trahison de son petit ami il coucha avec tous les hommes. Les missions se passaient tellement mal que le scientifique était à deux doigts de craquer. Mais un jour Sheppard dépassa les bornes. Élisabeth apprit de la bouche de Kavanaugh que le militaire s'était envoyé en l'air avec lui mais aussi avec Caldwell. La jeune femme était dans une telle colère qu'elle le convoqua.  John se rendit dans le bureau de la dirigeante. Il vit que le Colonel était là aussi. Le pilote du Dédale lui fit un signe de la tète. Il demanda à son amie:



-Oui Elisabeth que se passe t'il?
-Vous avez dépassez les limites colonel, fit la jeune femme énervée.
-Allons bon qu'est-ce que j'ai fait encore? Fit le jeune brun nullement impressionné.
-Vous avez couché avec le colonel Caldwell ! Fit Weir.
-Oui et alors je ne vois pas où est le mal, fit Sheppard, j'ai pris mon pied et lui aussi et puis ça ne regarde personne avec qui je couche. C'est ma vie.
-Mais enfin John vous vous rendez compte de ce que vous dites, fit Elisabeth, Je ne vous reconnais plus. Vous faites vivre un enfer à votre équipe et puis particulièrement au Dr McKay.
-Nous y voilà, fit le militaire énervé lui aussi, il ne peut pas s'empêcher de jouer à la victime.
-Mais enfin John Rodney souffre de cette situation, fit la diplomate en tentant de calmer la situation.
-AH OUI ! Fit l'américain, VOUS CROYEZ QUE JE NE SOUFFRE PAS MOI? MAIS MERDE ELISABETH C'EST DE SA FAUTE SI JE SUIS DANS CET ETAT. IL A COUCHE AVEC CARSON ALORS QU'ON ETAIT ENSEMBLE LUI ET MOI. JE L'AIMAIS ET IL M'A TRAHI. C'EST DE SA FAUTE !


Soudain un bruit sec se fit entendre. John se tint la joue droite et regardait Rodney les yeux rempli d'effroi et d'incertitude. Le canadien était vraiment mal et le militaire sans demander son reste sortit en courant du bureau de la dirigeante. Il se rendit dans ses quartiers et le saccagea. Lorne et Ronon qui passèrent par là virent le carnage. Aussitôt  le militaire appela le médecin et avec l'aide de l'ancien runner ils tentèrent de calmer le colonel. Beckett arriva et fit une piqûre à Sheppard qui s'évanouit dans les bras de son second. Sur ordre de Weir et de Caldwell John fut emmené dans la cellule et Lorne et le médecin restèrent avec lui. Sheppard se réveilla quelques heures plus tard et quand il vit où il était il demanda:


-Qu'est-ce que je fais ici?
-Ah vous êtes réveillé ! Fit Carson d'un ton sec.
-Oui, fit le colonel déstabilisé par le ton du médecin, je peux savoir ce que je fais ici?
-Vous le faites exprès ou quoi? Fit Carson en colère.
-Non, fit l'américain, je ne le fais pas exprès et pourquoi êtes vous en colère?


Ce fut la goutte d'eau de trop. L'écossais laissa exploser sa colère et après avoir dit ce qu'il pensait au jeune brun il fut étonné de le voir passé ses bras autour de ses genoux et d'éclater en sanglots. Il se balançait d'avant en arrière et disait des choses incohérentes. Carson pouvait l'entendre dire:


-Pardon papa. Je suis désolé. Je ne voulais pas. C'est de ma faute si maman est morte.


Lorne et Beckett se regardèrent. Le médecin était impuissant. Il n'arrivait pas à maîtriser et surtout à calmer le pilote. Au même moment Rodney arriva et quand il vit John dans cet état il demanda au médecin:


-Mais qu'est-ce qu'il a?


Carson lui raconta ce qui s'était passé et le scientifique s'approcha de son ex-amant en lui demandant:


-John est-ce que tu vas bien?


Le militaire leva les yeux vers le scientifique et se jeta dans ses bras en pleurant. Le canadien caressa les cheveux de l'américain qui lui dit:
L'amour est un sentiment qui peut faire mal: OS-Pardon papa. Je ne voulais pas ça.
-John mon coeur c'est moi. Rodney, fit le scientifique.
-Rodney? Fit Sheppard.
-Oui c'est moi chaton, fit McKay.
-Pardon Rodney, fit le militaire, pardon pour tout.
-Ssshhhttt calmes-toi bébé, fit Rodney.


John finit par se calmer et s"endormit contre son homme. Carson lui dit:


-Je vais le faire transporter à l'infirmerie.
-D'accord, fit le scientifique, mais est-ce que tu as eu le temps de lui dire?
-Non pas encore Rodney, fit Carson, je lui dirais quand il ira un peu mieux.
-D'accord, fit le canadien.
-Major? Fit le médecin.
-Oui Dr?  Fit Lorne.
-Pouvez-vous porter le colonel jusqu'à l'infirmerie? Fit Beckett.
-Oui bien sûr Doc, fit le militaire.


Evan tendit son arme à un de ses hommes, entra dans la cellule et prit son supérieur dans ses bras. Il suivit Beckett et Mckay jusqu'à l'infirmerie et déposa le colonel dans un des lit. Le scientifique le remercia et après que Carson lui ai donné une tenue de malade il entreprit de déshabiller son amour. Une fois fait il le glissa dans le lit et remonta les couvertures pour le couvrir. Pendant que le médecin le mettait sous perfusion le scientifique regarda son homme  et lui caressa le visage. John se mit à parler:


-Pardon Rodney. Je t'aime.


Ledit Rodney sourit, l'embrassa et lui dit:


-Moi aussi chaton je t'aime.


Il se déshabilla et se coucha. Il prit son amant dans ses bras et s'endormit . Carson sourit avec tendresse puis il déposa un baiser sur le front des deux hommes. Le lendemain matin Rodney se réveilla le premier et observa John qui dormait. Il caressa son visage et déposa un baiser sur ses lèvres. Mon dieu que ce lui avait manqué. Il repensait à ces derniers jours et se rendit compte que tous les deux avaient énormément souffert. Il ne voulait plus voir cette souffrance, cette douleur et cette peur chez son militaire. Il l'aimait tellement et il aimait aussi Carson. Il ne voulait pas choisir. Il voulait les garder tous les deux. John se réveilla et quand il le vit Rodney sourit. Il lui dit:


-Salut chaton.
-Salut Rodney, souffla le militaire.
-Comment tu te sens mon amour? Lui demanda le scientifique.
-Minable, fit le militaire.


Carson qui avait vu que John était réveillé alla le voir et lui demanda:


-Bonjour colonel. Comment allez-vous?
-Je me sens tellement minable pour tout ce que je vous ai fait subir, fit le militaire.
-Hey, fit le scientifique, tu n'as pas à t'en vouloir chaton on est responsable tous les 3 n'est-ce pas Carson?
-Oui Rodney a raison John, fit le médecin, écoutez j'ai quelque chose à vous dire et ce n'est pas facile.
-Allez-y doc je vous écoute, fit le colonel.


Le médecin prit la main de Sheppard dans la sienne et lui dit:


-Colonel ça fait 3 ans que l'on se connait et cela fait trois ans que je nourris des sentiments pour Rodney et vous. Je vous aime John.


John était médusé. Il n'en croyait pas ses oreilles. Deux hommes étaient amoureux de lui. Et pour la seconde fois de sa vie son coeur chavira d'amour et de tendresse pour ce merveilleux médecin. Il savait ce qui lui restait à faire. Il attira Carson à lui et l'embrassa. Le médecin poussa un gémissement de plaisir et répondit avec fièvre au baiser du colonel. Rodney qui n'en perdait pas une miette s'approcha d'eux et les embrassa. Son coeur était gonflé d'amour pour eux. Il parla des paroles qu'avait lâché le colonel dans la cellule. Le brun pâlit et leur dit:

-C'est de ma faute si ma mère est morte. Si je n'avais pas insisté pour qu'elle m'emmène voir ce match elle serait encore en vie.
-Que s'est-il passé? Demanda Beckett.
-Une voiture nous ai rentré dedans, fit le militaire, il a pris la fuite. Bien après j'ai appris qu'il a tué une autre famille.
-Ce n'est pas de ta faute, fit Rodney, c'est ce chauffard qui a tué ta mère et c'est une chance inouïe que tu t'en sois sorti car sinon on ne se serait pas connu et on n'aurait pas vécu quelque chose de merveilleux.
-Rodney a raison John, fit Carson,tu dois faire la paix avec toi même en allant voir ton père.

Le militaire réfléchit et tomba d'accord. Après cette longue conversation John se sentit mieux et discuta avec Élisabeth à qui il demanda pardon. La diplomate accepta ses excuses et l'autorisa à aller sur terre. Rodney l'accompagna et les retrouvailles se passèrent bien. Le père et le fils purent faire enfin la paix et c'est le coeur léger que John repartit sur Atlantis. Il était temps pour lui de tourner la page et se sentait prêt à commencer une nouvelle vie avec les deux hommes qu'il aimait.

L'amour est un sentiment qui peut faire mal: OS
Tags : John Sheppard ❤, Rodney McKay ❤, Carson Beckett, l'amour est un sentiment qui peut faire mal, OS ❤️, Stargate Atlantis ! ♥
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#Posté le samedi 09 novembre 2019 15:34

Modifié le samedi 04 janvier 2020 05:59

Je t'aimerais toujours : OS

Je t'aimerais toujours : OSJe t'aimerais toujours : OSDans l'avion qui le ramenait à Oahu Steve repensait aux derniers événements. Il repensait aux derniers moments avec sa mère et s'en voulait de n'avoir rien pu faire pour la sauver. Il se souvenait de ses derniers mots:

"Je t'aime Steevy ainsi que ta soeur Mary. Je suis si fière de vous deux. Steevy ne passe pas à côté du bonheur. Dis à la personne que tu aimes tout ce que tu ressens pour elle"

Elle avait posé sa main sur la joue du jeune SEAL, lui avait souri puis elle avait rendu son dernier soupir. Il se souvenait que Junior l'avait sorti de l'entrepôt et se souvenait aussi d'avoir hurlé sur Danny. Danny, son âme soeur, la personne dont il était amoureux, la personne qui avait été toujours là pour lui. Depuis quelques temps le jeune brun s'était aperçu qu'il ressentait beaucoup plus que de l'amitié pour son partenaire. Il avait compris qu'il ressentait de l'amour mais cet amour était à sens unique car le petit blond s'était remit avec Rachel. Tant pis il lui avouerait quand même ses sentiments. Il repenssait aussi au coup de fil qu'il avait passé à Mary.
Flash-back
Après que Danny soit parti Steve poussa un soupir. Il avait été un peu loin et ne savait pas si son ami allait lui en vouloir. Il laissa ce problème de côté et prit son portable. Il rechercha le numéro de sa soeur et quand il le trouva il l'appela. Elle répondit au bout de 3 sonneries:

-Salut frérot.
-Salut s½urette, fit-il les larmes aux yeux.
-Qu'est-ce qu'il t'arrive? Lui demanda la jeune femme.
-Mary j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer, lui dit-il, ça concerne maman.
-Qu'est-ce qu'il y a? Demanda t'elle inquiète.
-Maman est morte s½urette, fit le jeune commandant du 5.0.
-Quoi? Mais comment ça? Quand? Lui demanda t'elle.
-Hier, fit-il en pleurant.

Il lui expliqua tout ce qui s'était passé et à la fin du récit Mary lui dit:

-Oh Steve je suis tellement désolée pour toi. Tu as dû traverser tout ceci tout seul.
-Merci s½urette, lui dit-il, tu sais avant de mourir maman m'a dit qu'elle était fière de nous deux mois elle m'a dit autre chose.
-Oh et c'est quoi frérot? Lui demanda t'elle.
-De ne pas passer à côté du bonheur et de dire à la personne que j'aime tout ce que je ressens pour elle, fit le jeune SEAL.
-Maman a raison, fit Mary, il faut que tu dise à Danny que tu l'aime.
-Mais comment tu sais que c'est Danny que j'aime? Lui demanda le jeune brun.
-Steve ça fait 10 ans que vous vous connaissez lui et toi, fit-elle, ça fait 10 ans que tu lutte contre les sentiments que tu as pour lui.
-Oui tu as raison, fit Steve.
-Écoute frérot je ferme l'appartement et avec Joanne on arrive, fit la jeune blonde, je te préviens de notre arrivée à Oahu.
-D'accord, fit le jeune SEAL, à plus tard.
-À plus tard, fit la jeune McGarrett, je t'aime Steve.
-Moi aussi je t'aime Mary, fit le commandant.

Sur ces derniers mots il raccrochèrent.
Fin du flash-back
Avoir ouvert son coeur lui avait fait du bien et avant de monter dans l'avion Steve avait reçu un message de sa s½ur qui lui disait à qu'elle heure son avion atterrissait. Quelques heures plus tard son avion se posa à Hickam sur la piste. Il attendit que l'appareil ai éteint les moteurs puis il put descendre. Les membres du 5.0 étaient là. Lou s'approcha de lui et lui dit:

-Je suis désolé pour ta mère mon ami.

Steve tomba dans ses bras et craqua. Junior,Quinn, Tani et Adam se Regroupèrent autour de Lou et firent un câlin collectif au jeune SEAL. L'ancien chef du SWAT lui dit:

-Tu ne sera pas seul pour traverser cette épreuve mon ami. On sera là pour ta s½ur et toi.
-Merci Lou, fit McGarrett.
-Lou a raison, fit Adam, nous serons à vos côtés. Nous sommes Ohana.
-Merci Adam, fit le jeune brun, où est Danny?
-Il est allé récupérer ses parents et sa s½ur à l'aéroport, fit Lou.
-D'accord, fit le jeune commandant.

C'est alors qu'Eddie se jeta dans les bras de son maître en aboyant. Tout le monde se mit à rire. Steve enroula le corps de son chien, déposa un baiser sur sa tête et le caressa en lui disant:

-Merci mon grand. Tu es vraiment un très bon ami.
-On devrait partir à la morgue, fit Junior, Noélanie nous attend.
-Très bien, fit Lou, allons-y.

Ils montèrent tous en voiture et partirent à la morgue. Steve ne disait rien. Il était trop submergé de chagrin. Il se demandait si il allait se remettre de cette nouvelle perte. Il le fallait car Doris ne lui permettrait pas qu'il se laisse aller. Ils allèrent à la morgue et Noélanie serra son ami dans ses bras en lui disant:

-Toutes mes condoléances Steve.

Steve lui rendit son étreinte et la remercia:

-Mahalo Noélanie.
 
Alors qu'il allait se recueillir auprès du corps de sa mère Mary se jeta dans ses bras en pleurant. A son tour le jeune SEAL éclata en sanglots. Sa soeur lui caressa le dos et le frère et la soeur restèrent un moment enlacé. C'est alors qu'ils se retrouvèrent dans une étreinte. Steve reconnut la personne à son parfum. Il s'agissait de Danny. Il se blottit contre lui tandis que Clara Williams prit Mary dans ses bras. Le jeune SEAL s'accrocha à son partenaire et pleura. Le jeune blond lui caressa le dos et McGarrett lui dit:
 
-Je ne peux plus me taire. Il faut que je te le dise.
-De quoi il s'agit babe? Fit le jeune lieutenant.
-Danny je t'aime pas comme un frère mais comme un amoureux, fit le jeune brun, je suis raide dingue de toi.
 
Williams ne dit rien et serra son ami un peu plus fort contre lui. Son partenaire lui demanda:
 
-Ne m'abandonne pas.  Je t'aime et j'ai peur de te perdre.
-Je ne te lâcherais pas babe, fit le jeune blond en lui caressant la joue avec tendresse.
 
Mary leur dit:
 
-On devrait y aller.
-Oui Mary a raison, fit Clara, on devrait y aller.


Steve se défit de l'étreinte de Danny et alla déposer un baiser sur le front de sa mère en lui murmurant:


-Je t'aime maman. Tu seras toujours dans mon coeur.


Il caressa une dernière fois sa joue puis il retourna auprès de son âme soeur. Il lui prit sa main et ne la quitta plus. Il s'accrochait à lui comme une bouée de sauvetage. Ils quittèrent la morgue pour aller chez le jeune SEAL. Dans la camaro régnait le silence. Steve regardait par la fenêtre et était plongé dans ses pensées. Sa main était posée sur la cuisse de son ami. Mary était aussi plongée dans ses pensées. Quelques minutes plus tard ils arrivèrent chez les McGarrett. Steve descendit de la camaro et vint reprendre la main de Danny. Il alla ouvrir la porte d'entrée et entra à l'intérieur de la maison. Il craqua à nouveau et partit dans le jardin. Danny le suivit et le SEAL vint à nouveau se blottir dans ses bras. Ils s'embrassèrent longuement avec tendresse et Steve lui dit:

-Je t'aime Danny.
-Moi aussi je t'aime babe, fit Williams.



Ils échangèrent un nouveau baiser empreint d'amour et de tendresse puis Mary vint les rejoindre. Elle vint se blottir dans les bras de son frère qui lui déposa un baiser sur le front puis elle se tourna vers Danny et lui dit:



-Si tu fais du mal à mon frère je te refais le portrait.



Soudain le jeune SEAL se mit à rire face aux mots de sa soeur. Le jeune blond sourit et Mary finit par rire en lui donnant un coup de poing dans l'épaule. Elle lui dit:


-Tu pourrais au moins faire semblant d'avoir peur.
-Mais j'ai peur, fit-il en faisant semblant d'être effrayé, t'inquiète pas Mary je ne ferais jamais de mal à ton frère je l'aime trop pour ça.


Steve sourit face aux paroles de son homme et se blottit à nouveau contre Danny.  Ils rentrèrent à l'intérieur et Clara sourit en voyant Steve et Danny tendrement enlacés. Elle leur dit:


-Mes chéris il serait temps d'aller dormir un peu.
-Oui tu as raison maman, fit le jeune blond.


Ils se souhaitèrent une bonne nuit puis montèrent se coucher. McGarrett s'assit sur son lit et mit son visage entre ses mains. Williams vint à ses côtés et lui demanda:


-Ça va babe?
-oui ça va , fit-il, enfin si on veut. Danny?
-Oui babe? Fit le jeune blond.
-J'ai envie de toi, fit le jeune brun.
-Moi aussi, fit Danny.

Ils s'embrassèrent à nouveau puis Steve lui dit:

-Tu m'arrête si jamais...
-Ne t'inquiète pas, fit Danny.

Le jeune SEAL embrassa fiévreusement son partenaire puis il le déshabilla. Danny fit de même et quand ils se retrouvèrent nus le jeune brun prit son homme dans ses bras et l'allongea dans le lit. Le jeune SEAL commença à descendre le long du corps du blond dont les mains voletaient sur son dos. Pressant une multitude de baiser sur son bas ventre, il sentit des doigts remonter jusque dans ses cheveux ... Il descendit sa propre main et partit palper l'érection qui l'attendait plus bas, démarrant seulement par des frôlements le long de la hampe chaude, et sa main libre passa sous le corps fiévreux dans l'intention d'agripper une fesse rebondie. Il conserva soigneusement sa bouche sur le bas ventre tremblant. Danny gémissait, haletant et poussant vers le haut, tentant de gagner une quelconque friction ... Mais le diabolique brun s'était mis en tête de le torturer littéralement. Il grogna et tira sur les cheveux noirs, la frustration le gagnant progressivement. Le diablotin leva le regard et l'observa à travers ses longs cils avant de sourire malicieusement ... pour hausser un sourcil interrogateur. Il se fichait de lui. Quelle allumeuse !

-T'es qu'un ... » Geignit Williams avant de s'interrompre en soupirant, le souffle court.
-Un quoi, Chéri? Demanda son amant.

Je t'aimerais toujours : OSSteve prit tendrement le membre torturé dans sa main et en caressa délicatement la longueur sans vraiment approfondir le contact. McGarrett laissa échapper un sourire diabolique alors qu'il entendait un gémissement de Danny. Son pauvre petit blond n'en pouvait plus ... Et la voix plaintive de son amour vint confirmer sa pensée.

-Ooh ! Espèce de gros lourd ! 
-Ouep, bonne réponse, gloussa Steve.

Il reçut un regard noir de Daniel qui leva les hanches une fois de plus et il décida de stopper la séance de torture, posant finalement ses lèvres sur le gland rouge qui palpitait impatiemment. Il se contenta de légères succions, prenant son temps pour goûter son amour comme il aimait toujours le faire, passant une main apaisante sur le ventre plat et musclé ...Lorsqu'il sentit Danny se relaxer et gémir de contentement, il engloutit entièrement le membre rigide, le prenant par surprise. Il n'échoua pas.



-Oh putain !  Entendit Steve et il sourit autour de la hampe chaude avant de s'écarter.
-Patience, mon Danno, fit Steve.

Il reçut une nouvelle plainte et il remonta le long du corps pour reprendre possession de sa bouche. Le blond grogna dans le baiser lorsque leurs érections se touchèrent, créant une délicieuse friction ... Steve sourit contre les lèvres de son compagnon lorsque le plus petit écarta brusquement les jambes dans un mouvement impatient. Il interrompit le baiser et caressa la mâchoire de Daniel avec le pouce en lui demandant:

-Tu n'peux pas attendre, hein ?
-Et alors? Répliqua Danny avec un mouvement de hanches approprié pour récolter un gémissement de son partenaire.

Steve se redressa et s'écarta sur le côté avec un clin d'½il, posant une main sur la hanche de son compagnon avant de pousser gentiment. Le blond reçut le message et se retourna avec enthousiasme, provoquant un gloussement chez le brun amusé. McGarrett se leva et, voyant les sourcils froncés de son amour, il se pencha pour l'apaiser avec un baiser avant de rejoindre un tiroir dans lequel il récupéra un tube de lubrifiant. Ils étaient tous deux en parfaite santé –étant tous deux tenus à des examens réguliers- et il ne perdit donc pas de temps à chercher pour des préservatifs ...Lorsqu'il revint, il stoppa net en voyant le corps nu et exposé de son compagnon ... Il prit le temps d'admirer la vue. Danny était allongé devant lui, à plat ventre dans le lit, sa tête reposant sur ses bras croisés. Le regard de Steve suivit le chemin depuis les épaules larges et la cambrure de ses reins jusqu'au renflement causé par ses fesses pulpeuses ... Et il se lécha les lèvres tel un chat ayant aperçu une souris.

-Oh, Steven ! T'attends le dégèl ou bien? S'impatientait la souris en question.

Il sursauta et revint à la réalité avant de se repositionner entre les jambes du blond bouillonnant qui soupirait de soulagement. Laissant tomber le lubrifiant non loin d'eux, il ne put résister plus longtemps et posa les deux mains sur chaque fesse pour serrer ... Une fois, deux fois, trois fois ...Et il finit par donner un véritable massage, s'éclatant à palper le popotin parfaitement rond.

-Steve ! Ronchonna Danny.
-Okay, okay, fit le jeune brun.

Se retenant de rire, il enduisit ses doigts de crème pour délicatement en insérer deux dans l'intimité de son amour ... Danny gémit, se cambrant sous l'intrusion, et Steve le calma à l'aide de caresses et divers baisers le long de son dos. Il entendit un nouveau gémissement et reconnut le plaisir de son compagnon. Il sut qu'il avait atteint le point stratégique à l'intérieur de son petit blond. Embrassant toujours les épaules et la nuque du plus petit, il ajouta un troisième doigt pour poursuivre la consciencieuse préparation ... En dépit de ce que l'on pouvait penser de lui, il était loin d'être un rustre ou Neandertal pour certains et détestait blesser ceux qu'il aimait, en particulier son blondinet. Revenant à sa tâche, il récupéra le tube de sa main libre pour lubrifier sa propre longueur.
Mais, nom de Dieu, qu'attendait-il? Danny attendait que son compagnon le prenne sans plus de cérémonie mais l'homme prenait son temps pour le préparer ... Steve avait toujours été doux et lent avec lui pas qu'il ne se plaigne mais il avait parfois envie d'accélérer un peu le mouvement. Il voulait un peu de brute. Il prit appui sur ses bras et poussa contre les doigts inquisiteurs ... pour seulement entendre un gloussement. Il grogna, désapprobateur. Il détestait être taquiné de cette manière.


-J'arrive, Danno. Attends un peu, lui susurra Steve à l'oreille.

Son compagnon heurta sa prostate juste lorsqu'il fut sur le point de répondre et, au lieu de mots, il laissa échapper un cri ... il sentit alors Steve lui mordiller la nuque tandis que les doigts explorateurs se retiraient pour laisser place à quelque chose de plus gros. Lorsque le gland passa le premier cercle de muscles, il ne put s'empêcher de se tendre et son amour stoppa tout mouvement pour l'entourer de ses bras, drapant tout son corps. Il tourna le visage pour voir le sourire rassurant de son partenaire qui vint embrasser sa joue avant de passer une main sous lui ... Danny sursauta en la sentant sur son érection douloureuse et il gémit, poussant dans la paume chaude et rugueuse. Steven vit cette réaction comme un signal et il reprit ses mouvements, insérant lentement la hampe dans sa totalité. Il grogna sous cette chaleur serrée.

-Babe ..., geignit Steve.
-Bouge crétin, grogna Danny cambrant les reins.

Steve se fit un plaisir d'obéir à cet ordre et se retira quasi-entièrement pour repousser d'un seul coup de rein ... Il conservait un rythme insupportablement lent avec de longues poussées et Williams allait y perdre ce qui lui restait de neurones. Il était si près de venir et son compagnon prenait son temps comme s'ils avaient toute la nuit. Okay, ils avaient toute la nuit mais Danny voulait juste passer aux choses sérieuses et bien se faire ...

-Accélère, Steve, bon sang ! Cria-t-il en agrippant fermement les draps de ses poings.

Et nope ... Il ne suppliait pas. Pas du tout. Ses tortillements semblèrent avoir l'effet escompté et augmenté l'excitation de son partenaire étant donné les coups de reins de plus en plus forts qu'il recevait ... pour son plus grand régal. Le brun frappait sa prostate à chaque poussée et le blond haletait et criait de plaisir sous ce martèlement. Danny ne regrettait pas d'avoir attendu, finalement. Cela en valait totalement le coup et il pensa qu'il perdait définitivement quelques neurones. Ce fut sa dernière pensée cohérente avant que son cerveau ne se fasse la malle tandis qu'il jouissait violemment, perdant quasiment connaissance, avec un grognement profond. Il rata presque l'orgasme de son compagnon qui agrippa fortement ses hanches et se tendit en se cambrant ... et il entendit vaguement son nom dans un cri. Vidé, Steve s'étala de tout son long sur le dos de son amour tandis que son membre radoucit s'échappait de la douce chaleur. Il soupira d'aise, se sentant repu ... Il entendit alors son petit blond fredonner et il roula sur le côté, se drapant contre Danny. Le blond se retourna dans ses bras et lui envoya un lumineux sourire.

-Salut, lança Steve avec un sourire tendre.
-Mmh ...Fit le petit blond.
-Toujours avec moi?  Lui demanda le SEAL.

Danny acquiesça vaguement et vint se lover contre le torse musclé du brun, une oreille posée sur le c½ur. Il sentit un baiser sur ses cheveux et des mains se balader sur son dos et sa nuque ... Ils restèrent étendus dans le lit durant cinq bonnes minutes, profitant seulement de la présence de l'autre, et le blond releva la tête pour réclamer un langoureux baiser. Lorsqu'ils se séparèrent, il reçut un clin d'½il de son beau militaire et les deux hommes échangèrent un sourire. Le père de famille échappa un bâillement. Steve éteignit la lumière et les deux hommes s'endormirent. Le sommeil du SEAL fut perturbé une partie de la nuit et ce fut le dernier cauchemar qui le réveilla. Il hurla et Danny se réveilla en sursaut. Quand il vit son homme se débattre cela lui fit mal. Il posa sa main sur son épaule et tenta de le calmer. McGarrett ouvrit les yeux et quand il vit son compagnon il se jeta dans ses bras en tremblant et en pleurant. Danny lui caressa le dos et lui dit:

-Chut babe calme toi. C'est fini.
-Oh Danny si tu savais comme j'ai eu peur, fit son amant, dans mon cauchemar c'était toi qui était mort.
-Hey il m'arriveras rien, fit le jeune blond, tu sais pourquoi? Parce que tu veille sur mes arrières et puis parce qu'on s'aime. On est un couple. Et puis je suis comme de la mauvaise graine je suis indestructible.
-Si tu dis qu'on est en couple est-ce que tu veux venir vivre avec moi? Demanda le leader du 5.0.
-Tu es sérieux babe? Lui demanda le jeune blond.
-Oui, fit le brun, je ne supporte pas de vivre loin de toi.
-Oh babe oui je veux vivre avec toi,fit Williams ému.

Les deux hommes échangèrent un baiser puis le lendemain matin quand Danny se réveilla il était seul. Il se leva, passa un tee-shirt et un bermuda puis il descendit. Il sortit dans le jardin, prit le drap de bain qui était sur le transat et attendit que son homme sorte de l'eau. Steve était allé nager avec Eddie et ça lui avait fait un bien fou. Quand il sortit de l'eau il fut heureux de voir son amant. Il s'approcha de lui, caressa sa joue rugueuse et l'embrassa tendrement. Il lui dit:



-Bonjour Danno.
-Bonjour babe, fit le jeune blond.


Williams lui tendit la serviette de bain en lui disant:


-Tiens sèches-toi aquaman avant de mettre de l'eau partout.


Le brun sourit, se sécha et prit la main de son compagnon dans la sienne. Ils montèrent se doucher et au moment où ils entrèrent dans la chambre de Steve ils virent Mary sortir de la sienne. La jeune femme se jeta dans les bras de son frère en larmes. Le SEAL serra sa soeur dans ses bras et tenta de la calmer:


-Hey Mary tout va bien ne pleure plus.
-Oh Steve j'ai eu tellement peur, lui dit-elle, j'ai fait un cauchemar dans lequel tu étais mort.


La jeune McGarrett tremblait dans les bras du jeune commandant. Il la rassura en disant:


-Je suis là soeurette. Il ne m'arrivera rien. T'inquiète pas.
-Tu me laisseras pas tomber hein? Lui demanda t'elle.
-Non, fit-il, je serais toujours pour toi et puis avec Danny on veillera sur toi n'est-ce pas babe?
-Oui bien sûr, fit William.
-Tu sais ce que tu devrais faire soeurette, fit le jeune brun, tu devrais vendre ton appart à Los Angeles et venir vivre ici.
-Ok mais j'ai pas l'intention de vous tenir la chandelle,  fit la jeune femme.


Les deux hommes sourirent puis Steve demanda à sa soeur:


-Ça va mieux?
-Oui merci Steve, fit Mary, tu sais je t'aime.
-Moi aussi soeurette, lui dit-il.


Il déposa un baiser sur son front et Mary repartit. Danny fit à son amant:


-Tu as su trouver les mots justes babe.
-J'espère, fit-il.
-Oui, fit le blond en l'embrassant.


Le jeune SEAL soupira puis il partit prendre sa douche. Il ressortit 2 minutes plus tard puis il s'habilla. Une fois prêt il descendit dans le jardin et il alla s'asseoir au bord de la plage. 20 minutes plus tard Danny vint s'asseoir en silence à ses côtés et lui prit la main.  Steve lui dit:


-Ce que nous avons vécu hier soir était tout simplement merveilleux. Je ne regrette rien.
-Moi aussi je ne regrette rien, fit le jeune lieutenant.
-Danny en ce qui concerne la proposition de cette nuit: celle de venir vivre avec moi...Commença McGarrett.
-Hey c'est tout vu babe, fit le jeune lieutenant, j'accepte de venir vivre avec toi.  Je t'aime trop et je ne veux plus être séparé de toi.


Steve lui sourit amoureusement et l'embrassa puis il lui demanda:


-Et Rachel?
-Ne t'inquiète pas, fit Danny mystérieux.


Au même moment les deux hommes furent appelés et ils entrèrent dans le salon. Devant eux se trouvaient Rachel, Grace et Charlie. La jeune ado se jeta dans les bras de Steve en lui disant:


-Oncle Steve je suis vraiment triste pour toi.
-Merci ma poucinnette, fit le commandant du 5.0.
-Je suis triste moi aussi, fit Charlie.
-Merci les enfants, fit le jeune brun.


Rachel s'avança vers lui et lui dit:


-Je te présente toutes mes condoléances Steve.
-Merci Rachel, fit-il.


Elle le serra dans ses bras et il craqua. La jeune femme lui caressa le dos en lui disant:


-Je serais toujours là pour toi.
-Merci Rachel, lui dit-il.


Elle déposa un baiser sur sa joue et elle alla vers Danny.  Elle serra la main de son ex mari et lui chuchota à l'oreille:
 

-Tu lui as dit chéri?
-Non pas encore ma chérie, lui dit-il, j'y vais.


Steve avait du mal a comprendre mais son homme lui sourit.  le jeune lieutenant s'avança vers son amant qui lui demanda:


-Je ne comprends pas la réaction de Rachel babe.


Williams sourit et lui chuchota à l'oreille:


-En fait Rachel et moi on te propose un plan à 3.
-Hein? Fit le jeune SEAL la bouche ouverte.
-Tu verras babe tu vas adorer, fit le jeune père de famille.


Danny embrassa amoureusement son amant et lui dit:


-Nous te voulons tous les deux. Rachel est amoureuse de toi depuis que Grace a eu son accident.
Je t'aimerais toujours : OS-Euh?? Fit le jeune SEAL estomaqué.


Il en croyait pas ses yeux ! Rachel l'ex-femme de son Danno était amoureuse de lui. Il se sentait vraiment pas bien. Il alla dans le garage pour réfléchir. Quelques minutes plus tard Rachel fit son apparition et lui dit:


-C'est Danny qui m'a dit que je te trouverais ici. On peut parler?
-Oui et de quoi? Lui demanda t'il.
-De ce que t'as dit Danny, fit la jeune femme, tu sais c'est vrai.
-Rachel comment est-ce possible? Lui demanda le jeune brun, je croyais que tu aimais Danny.
-Je vous aime tous les deux, lui dit-elle,Steve fais-moi confiance je ne te ferais pas de mal.


Elle posa sa main sur le bras du SEAL Pour l'apaiser et au même moment Danny arriva. Il alla rejoindre son amant et lui dit:


-Ecoute babe je t'aime et j'aime Rachel aussi. Je ne peux pas me résoudre à choisir  entre elle et toi et à me séparer de vous deux.


Il lui caressa la joue en lui disant:


-Fais moi confiance mon amour.
-Ok, fit McGarrett dans un souffle.


Williams commença à caresser son amant et lui retira son tee-shirt. Il caressa le corps de McGarrett qui frissonna. Rachel s'approcha de lui et commença à caresser le corps de cet homme  dont elle était follement éprise. Steve frissonna. Elle posa ses lèvres sur les siennes et l'embrassa. De son côté Danny déposait une pluie de baisers le long du dos du jeune brun qui était tétanisé. Danny lui murmura à l'oreille:



-Laisse toi faire babe



Le SEAL se laissa faire et au bout d'un moment  il répondit au baiser de Rachel. Il demanda l'accès à sa langue qu'elle lui accorda sans hésiter. Elles se mirent à danser un ballet sensuel. La jeune femme poussa un gémissement de plaisir et le traitement que Danny lui faisait subir le jeune brun se sentit à l'étroit dans son Jean. Williams posa sa main sur l'érection de son amant. Le geste de Williams arracha  un gémissement à McGarrett. Rachel déboutonna le pantalon de l'homme qui allait bientôt devenir son amant et elle se retrouva face à un magnifique regard bleu assombri par le désir. Lentement elle rapprocha son visage du sien et d'autorité il écrasa ses lèvres des siennes, l'embrassant avec une passion dévorante. Les mains du SEAL courraient sur les hanches de la jeune femme, lui arrachant des soupirs de plaisir. Rachel n'était pas en reste, elle caressait langoureusement le dos de Steve dessinant des arabesques compliquées tandis qu'il l'embrassait fiévreusement. Puis ses lèvres délaissèrent sa bouche et glissèrent dans son cou puis à la naissance de son décolleté. La jeune femme gémit et rejeta la tête en arrière afin de permettre à Steve d'aller plus bas. Le leader du 5.0 continua de dévorer son cou de baiser brûlants et dériva vers sa poitrine. Il  enleva le tee-shirt de la jeune femme et posa une main en coupe sur l'un des seins qui était prisonnier de sa prison de dentelle. Entretemps Danny s'était attaqué à l'oreille de son homme et la mordillait. Steve poussa un gémissement. Il enleva le soutien-gorge de Rachel et et titilla le mamelon durci par le désir du pouce. La respiration de la jeune femme s'accéléra et devint quasi anarchique. Steve remplaça alors sa main par ses lèvres et sa langue, jouant avec les petits bourgeons de chair rougis par ses caresses. Sous lui haletait et elle se cambra brusquement en sentant une main se glisser entre ses cuisses. Rachel se baissa et descendit le boxer de McGarrett le long de ses cuisses. Elle libéra le membre du SEAL et le jeune brun déglutit. Il avait comprit ce qu'elle voulait faire. Elle se mit à sa hauteur et la guida en douceur vers son érection de plus en plus conséquente. Elle n'hésita pas une seule seconde et l'aspira profondément dans sa bouche. Steve poussa un râle de pure satisfaction. Il laissa échapper:




-Oh...Putain


Ses hanches commençaient déjà à bouger. Rachel ne pouvais pas se retenir d'aller et venir entre ses lèvres. C'était si intense ! Jouissif ! Steve prit la tête de la jeune femme entre ses mains et se força à rester immobile. Rachel laissa courir sa langue sur sa verge. Elle l'aspira, le téta, le suça divinement bien. Elle le lâcha mais c'était pour mieux revenir titiller son gland rougi. Steve gémit de plus en plus fort:


-Oh mon dieu...Oh...oui...que...c'est...bon....




Il sentait qu'il allait venir. Rachel prit la décision pour lui en le suçant encore plus obstinément. Elle avait ralenti de rythme mais chacune de ses caresses était absolument indescriptible. Steve se mit à trembler violemment. Dans un sursaut il trouva la force de se redresser et de plaquer ses mains sur la nuque de Rachel. Un dernier coup de langue l'expédia dans les étoiles. La jeune femme le garda en elle jusqu'à qu'il retrouve un peu ses esprits. Danny sourit. Il avait eu raison. Il caressa tendrement son amant et le pénétra d'un doigt d'abord qui fut aussitôt suivi d'un second. Il commença à bouger doucement en lui, tirant, écartant afin de le préparer au mieux. Mais Steve se sentait déjà prêt et n'eut pas à attendre bien longtemps pour le faire savoir à son amant. Il se cambra brusquement et poussa un cri rauque:


-Oh...bordel...Da...Danny.



Le lieutenant de police comprit et remplaça ses doigts par son pénis. Il incita Steve à se pencher légèrement en avant afin de faciliter la pénétration. Puis, une fois en lui, il amorça un lent mouvement de va et viens, de plus en plus rapide à mesure que le plaisir affluait en eux. Il entrelaça ses doigts à ceux du SEAL plaqués contre la console et de son autre main, caressa le membre fièrement érigé de son amant au même rythme que ses coups de reins. Bientôt ses mouvements se firent erratiques, les reins se creusèrent et ils atteignirent l'orgasme quasi simultanément. Puis Danny se retira et Steve se retourna en se blottissant contre lui. Il prit Rachel contre lui et l'embrassa. Il fit de même avec son partenaire et leur dit:



-Je vous aime.
-Nous aussi on t'aime, fit Rachel.


Elle attira le SEAL à elle et l'embrassa passionnément. Elle fit de même avec Danny et ils se rhabillèrent. Ils sortirent du garage et c'est alors  que la sonnerie de la porte d'entrée retentit. Steve alla ouvrir et fut heureux. Il sourit en voyant Chin, Kono, Abby et Sarah. Les 3 amis entourèrent leur ancien boss et l'asiatique lui dit:


-Toutes nos condoléances Steve.
-Merci les amis, leur dit-il.


Danny s'approcha d'eux et fut aussi heureux de les voir. Chin lui dit:


-Tu as l'air rayonnant mon frère.
-Merci mon pote, fit le blond.


Il serra Kono contre lui  ainsi qu'Abby. Steve les fit entrer et leur demanda:


-Qui vous a prévenu?
-C'est Lou, fit Kono.
-Merci d'être venu, leur dit le jeune brun.


Mary fut heureuse de les voir et les remercia de s'être déplacé. Grace et Charlie furent heureux eux aussi et après les retrouvailles la jeune McGarrett dit à son frère que c'était le moment de tout préparer pour les obsèques. Après plusieurs heures passées à organiser les obsèques de leur mère le frère et la soeur rentrèrent épuisés. Steve trouva refuge dans les bras de Danny et craqua. Le blond caressa son amant dans le dos et lui dit:

-Chut ! Calmes-toi babe. Je suis là.

Rachel voyant la jeune SEAL pleurer s'approcha des deux hommes et les encercla dans ses bras. N'ayant pas le courage de manger quelque chose ils montèrent dans la chambre du SEAL. Le jeune brun se déshabilla en silence et se glissa sous la couette. Le blond fit pareil et rejoignit son amant. La jeune femme n'osait rien faire et c'est alors que Steve lui dit:

-Viens.

Elle se déshabilla et vint les rejoindre.Elle se mit entre les deux hommes et elle se retrouva sous Danny.  Elle attira le jeune blond à elle et l'embrassa passionnément. Williams avait glissé ses mains dans le dos de la jeune femme et  Il posa une main en coupe sur l'un des seins et le caressa doucement. Rachel gémit et se cambra:



-Oh...oui....Da...Danny.




Puis n'y tenant plus, il remplaça ses mains par ses lèvres, laissant des traînées brûlantes sur la peau de la jeune femme à chaque passage. Sous lui elle gémissait et haletait de plaisir.:


-Oh....oui....que c'est....bon.


Entretemps Steve s'était mit sur son amant et commençait à l'embrasser partout.Il posa la main sur le sexe de son amant et commença à le caresser lascivement. Danny haletait et gémissait, ses hanches ondulant au même rythme que la main de Steve.

- Steve... gémit Williams n'y tenant plus
- shhht, souffla Steve.



Il se plaça au dessus du lieutenant, glissa une main sous son ventre et le redressa légèrement. Puis d'un puissant coup de rein il le pénétra. McGarrett amorça alors un lent mouvement de va et viens et Williams sentit la douleur s'amenuiser se transformant petit à petit en un plaisir de plus en plus intense à mesure que les coups de reins du SEAL s'accéléraient et se faisaient erratiques. Afin que le blond ressente autant de plaisir que lui, il pris son sexe fièrement dressé dans sa main et lui imprima un rapide mouvement de vas et viens. Danny poussa un cri rauque, se cambra et jouit dans la main de son amant. Il reprit son souffle et vit à nouveau la main de son amant s'occuper de son membre. Il redevint dur et puis lentement, il pénétra la jeune femme. Rachel poussa un cri lorsqu'elle le sentit en elle. Puis il commença à bouger, lentement d'abord puis de plus en plus vite. La jeune femme noua ses jambes autour des hanches du lieutenant et calqua le mouvement de ses hanches sur celui de son amant. Tandis que les coups de rein de Williams se faisaient erratiques, Rachel atteignait les sommets du plaisir. Elle se cambra brusquement et atteignit l'orgasme dans un cri, ce qui provoqua celui de Danny qui donna un dernier coup de rein et explosa dans un râle rauque.Ce qui provoqua son orgasme à Steve et, dans un dernier coup de rein, le SEAL arqua les reins et explosa en son amant. Puis il se laissa retomber essoufflé sur le dos couvert de sueur de son homme. Les 3 jeunes gens se sourirent puis se blottirent entre eux. Le commandant du 5.0 fut le premier à s'endormir. Il fut rejoint par son amant et Rachel. Le lendemain fut une journée éprouvante pour les McGarrett. Au moment de partir Harry Langford vint chez eux et Steve le remercia chaleureusement. Ils partirent au cimetière et ce fut très dur pour le jeune SEAL. Il fut soutenu par Danny et Junior Tandis que Chin et Lou soutenaient Mary. Après la cérémonie ils repartirent au domicile des McGarrett pour une réception intime. Rachel s'approcha de son amant et lui demanda:
Je t'aimerais toujours : OS-Comment tu te sens mon amour?
-Si je te disais que je vais bien tu me croirais? Lui demanda t'il.
-Non, fit-elle en caressant sa joue.
-Ecoute Rachel ce que je vis avec Danny et toi c'est magique aussi est-ce que tu voudrais venir vivre ici avec Grace et Charlie?  Lui demanda le jeune brun.
-C'est vrai? Lui demanda t'elle, tu veux vraiment que...
-Oui, fit-il en souriant.
 
Rachel passa ses bras autour du coup du jeune homme et voulut l'embrasser mais n'osa pas. Le commandant fit signe à son amant de venir les rejoindre et il embrassa la jeune femme et son petit blond. Il passa ses bras autour de leurs tailles et s'adressa aux personnes présentes:


-Je vous remercie d'être tous venus nous soutenir ma soeur et moi pour cette épreuve c'est vraiment très gentil à vous. Voilà j'ai une annonce à vous faire: Je sais que vous attendiez ça que je sois en couple avec Danny eh bien c'est officiel nous sommes ensemble mais nous sommes aussi avec Rachel. Je ne pouvais pas les séparer alors nous sommes tous les 3 ensemble. Je sais que certains seront choqués mais on n'en a rien à faire. C'est notre vie. Donc voilà.


Personne ne dit rien puis Lou leur dit:


-Tant que vous êtes heureux le reste on s'en fout.
-Merci Lou, fit Danny.


Chacun reprit sa conversation et c'est alors que Kono s'approcha de son ancien boss en lui disant:


-Boss je peut te parler?
-Oui bien sûr Kono, lui dit-il, que se passe-t'il?
-C'est au sujet d'Adam, fit-elle, je suis très inquiète.
-Qu'est-ce que tu veux dire par là? Demanda le jeune brun.

-Eh bien depuis l'histoire de Jessy et Noriko il n'est plus pareil, fit l'hawaïenne, il a replongé dans le monde des yakuzas.
-Ok, fit Steve, merci de m'avoir prévenue Kono.
-De rien boss, fit la jeune femme, et surtout éloigne-le de ta soeur.
-Hein? Quoi? Fit-il.


Kono lui montra Adam et Mary. Le yakuza était un peu trop près de la jeune femme. Steve serra les poings et appela son amant. Danny arriva et lui demanda:


-Qu'est-ce qu'il se passe babe?


Le jeune brun lui révéla ce que lui avait apprit son amie et lui montra Adam et sa soeur.  Le lieutenant lui dit:


-Il est proche de Mary.
-Un peu trop, fit le SEAL, et j'aime pas ça.
-Il se comporte comme si il était amoureux, fit Danny.
-Ouais et même plus, fit Steve, et j'aime pas ça.
-Qu'est-ce qu'il se passe les gars? Fit Harry.


Steve lui montra Noshimori en lui disant:


-Je le sens pas.


Alors qu'ils s'approchaient du couple ils entendirent Mary dire:


-Aïe ! Tu me fais mal Adam ! Lâches-moi s'il te plaît !




McGarrett fit à Adam:


-Tu as entendu Adam? Lâches-là de suite !
-Ah et pourquoi? Fit-il.
-Parce que tu lui fait mal et peur, fit Danny.


C'est alors que  le yakuza sortit une arme et la pointa sur la jeune femme en leur disant:


-Reculez ou je l'abats !
-SSSSSSSSSttttttttttttttttteeeeeevvvvvvvvve ! Cria Mary.
-Fais pas le con Adam, fit le SEAL, lâche ton arme.
-Non ! Fit-il, tu vas souffrir Steve. C'est de ta faute si Jessy est morte. C'est de ta faute si j'ai tué ma soeur Noriko.

Et sans que personne s'y attende Adam tira sur Steve. Danny et Rachel poussèrent un cri et le blond  s'approcha de son amant pour voir si il allait bien et dit au japonais:

-Tu crois pas que Steve et Mary ont assez souffert comme ça? Ils viennent de perdre leur mère.
-Non Steve va encore plus souffrir car je vais tuer sa soeur sous ses yeux, fit Adam.

-SSSSSSSttttteeeevvvvvvvvvvvvveee ! Fit Mary en pleurant.


C'est alors qu'Harry s'approcha l'arme pointée sur Adam et lui dit:


-Ah oui ! Mais il faudra d'abord passer sur mon corps car tu vois McGarrett a oublié de te dire que sa soeur et moi allions nous marier.


Il regarda Mary et lui dit:


-N'est-ce pas mon amour?
-Oui, fit la jeune femme mal assurée.
-Vous mentez ! Fit Adam.
-Pose la question à Steve, fit Harry.


Steve qui s'était réveillé avait tout entendu. Il dit à Adam d'une voix faible:


-Harry dit la vérité. Ils ont prévu de se marier en même temps que Danny et moi.


Williams était estomaqué. Son amant voulait se marier avec lui et avant qu'il ne puisse dire quelque chose la situation s'aggrava. Adam était sur le point de tirer quand un coup de feu éclata. Mary poussa un cri et se réfugia dans les bras de son frère en pleurant. Tous virent Adam s'effondrer. Chin alla auprès de son ex-beau-frère, tata son pouls et dit:


-Il est mort.


Harry s'approcha des McGarrett et leur demanda:


-Est-ce que vous allez bien tous les deux?
-Oui, fit Steve, c'est juste une égratignure.
-Mary est-ce que...


L'anglais fut coupé par les lèvres de Mary qui l'embrassait. Au bout de quelques minutes elle lui dit:


-Oui je vais bien et je veux bien vous épouser Harry.


Langford sourit et embrassa la jeune blonde passionnément pour sceller leur union. Danny s'inquiéta au sujet de Steve. Il ne put s'empêcher de râler après son homme:


-Non mais tu n'es qu'un animal babe. Ne me refait plus ça.
-Je vais essayer, fit le SEAL en souriant, Danno veux-tu m'épouser?
-Oui, fit le jeune blond ému.


Il embrassa amoureusement son SEAL ainsi que Rachel.  Quelques jours plus tard après ce drame la Ohana se réunit à nouveau pour célébrer un double événement: Les mariages de Steve, Danny, Rachel et De Harry et Mary. Tout là-haut Doris et John sourirent car leurs enfants avaient trouvé le bonheur.  Désormais ils pouvaient reposer en paix car ils savaient que Steve et Mary étaient entre de bonnes mains. La Ohana veilleraient sur eux.
Je t'aimerais toujours : OS
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#Posté le mardi 12 novembre 2019 03:14

Modifié le jeudi 26 décembre 2019 12:48

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