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McShep-McDannoForever

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Création : 14/01/2019 à 15:11 Mise à jour : 11/01/2020 à 08:51

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1 article taggé un noel magique

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Un Noël magique:OS

Un Noël magique:OSJohn n'en revenait pas. Le CIS et le SGC venaient de le nommer dirigeant d'Atlantis. Il ne s'attendait pas à cette promotion. Cela voulait dire qu'il pourrait moins aller sur le terrain voire pas du tout. Cela ne l'enchantait guère  mais il ne pouvait pas faire autrement. Du coup il devait déléguer la sécurité de la cité à son second le major Lorne. Par le biais de son oreillette il appela Lorne:
 
-Major ici le colonel Sheppard. Pouvez-vous me retrouver dans le bureau du Dr Weir s'il vous plaît?
-Oui tout de suite Mr, fit Lorne. 




Le colonel mit fin à l'appel et attendit le jeune homme. Dès qu'il aurait vu le major il en informera son équipe. Le terrain allait lui manquer. Il espérait être à la hauteur de ses supérieurs et la première chose qu'il ferait c'était d'abolir cette loi stupide: Le DADT. Lorne arriva et lui demanda:
 
-Vous vouliez me voir Mr?
-Oui major, fit John, asseyez-vous.
 
Le militaire s'assit puis le colonel reprit: 
 
-Voilà major le CIS et le SGC ont nommé un nouveau dirigeant pour la cité et il se trouve que c'est moi.
-Oh toutes mes félicitations colonel, fit le major.
-Merci Major, fit Sheppard, si je voulais vous voir c'était aussi pour vous déléguer la sécurité de la cité. Vous serez le nouveau responsable et dorénavant je ne vous accompagnerais plus sur le terrain.
-C'est triste Mr, fit-il, mais sachez que je suis honoré d'être le nouveau responsable.
-Merci major je sais que vous ne me décevrez pas, fit John, bien pouvez réunir tout le monde à la salle d'embarquement je dois les informer.
-Pas de soucis Mr, fit Lorne. 


Les deux hommes sortirent du bureau et Lorne alla prévenir tout le monde. Quand ils arrivèrent Teyla demanda: 


-Un soucis John?
-Non tout va bien Teyla, lui dit-il en souriant, bien si je vous ai tous réuni c'est pour vous faire une annonce. Il y a quelques jours nous avons perdu le Dr Weir et je sais que vous êtes tous affecté encore. Cependant le CIS et le SGC ont nommé un nouveau dirigeant et ils ont pensé à moi.  A partir d'aujourd'hui c'est moi qui dirige Atlantis et Lorne sera le nouveau responsable de la cité. Je contacterais le général O'Neill pour que le major ait un second car hélas je ne pourrais plus aller sur le terrain. Tout ce que j'espère c'est d'être à la hauteur.


Tout le monde se regarda et parla en même temps puis Chuck lui dit:


-Vous serez à la hauteur colonel. Vous avez toutes les capacités à diriger cette cité et nous vous aiderons.
-Merci Chuck, fit le colonel.


Toutes les personnes sur la cité applaudirent et félicitèrent le nouveau dirigeant. Sheppard après tout cela repartit dans son nouveau bureau. Il pensait à tout ce que ça allait impliquer. Il se dit qu'il pourrait moins embêter son scientifique adoré qu'il aimait. Oui John malgré qu'il soit avec Teyla était tombé amoureux de l'irascible l'arrogant génie des deux galaxie le Dr Rodney Mckay et de ce fait il devait rompre avec Teyla sans tarder. Alors qu'il s'apprêtait à contacter le SGC pour demander un second pour le Major Lorne l'athosienne vint le voir.  Elle sourit et passa ses bras autour de la taille du militaire et lui demanda:


-Tout va bien John?
-Oui ça va, lui dit-il.
-C'est une très bonne nouvelle pour toi, lui dit-elle, te voilà dirigeant de la cité.
-Pas pour moi, fit-il en soupirant, mais bon je vais le faire. Ecoute Teyla il faut que je te dise quelque chose. Je te remercie du fond du coeur de tout ce que tu as fait pour moi mais je crois que toi et moi on devrait arrêter. On a vécu de bons moments ensemble il faut que tu saches que je ne suis pas amoureux de toi. Je suis amoureux de quelqu'un d'autre.
-Tu es amoureux de Rodney, fit-elle.
-Oui mais comment sais-tu...Commença t'il.
-Les regards, les gestes et les sourires que tu lui adresse, fit-elle.
-Je suis désolé, fit-il contrit.
-Ne le sois pas, fit la jeune femme, ce qu'on a vécu était très beau et puis on peut rester amis.
-Merci Teyla, fit Sheppard.




Ils échangèrent leur dernier baiser puis la Pégasienne partit. Elle avait les larmes aux yeux mais c'était mieux comme ça. Elle le savait depuis le départ mais quelque part ça faisait mal. Assez pleuré elle allait se relever et qui sait un jour elle retrouverait l'amour. Pendant ce temps là John avait contacté le SGC et Landry lui dit que le nouveau second arriverait une semaine plus tard  avec le dédale soit deux jours avant les fêtes de noël. Une semaine plus tard Toute l'équipe d'Atlantis était à la salle d'embarquement pour accueillir le second du major Lorne le lieutenant Jason Miller. Il devait arriver par le dédale avec Caldwell. Effectivement le colonel était le dirigeant temporaire de la cité car John partait le lendemain chez son frère pour fêter Noël aussi il avait demandé au colonel du Dédale de prendre sa place pour 3 jours et sans changer l'organisation de la cité. Alors qu'il attendait il jetait de fréquents coups d'oeil à Rodney. Mon dieu qu'est-ce qu'il aimerait pouvoir lui dire qu'il l'aimait mais il pouvait pas car le canadien n'éprouvait pas les mêmes sentiments que lui. Il soupira et sentit la main de Teyla sur son épaule. La jeune femme lui sourit et lui chuchota dans son oreille:


-Ne perds pas espoir John.
-Je sais teyla, lui dit-il, mais c'est dur.
-Je sais, fit l'Athosienne.


Au même moment Miller et Caldwell arrivèrent. John s"approcha pour accueillir le nouveau. Il salua le colonel:


-Bonjour Colonel.
-Bonjour Sheppard, fit Caldwell.




Sheppard se tourna vers Miller et lui souhaita la bienvenue:


-Bienvenue sur Atlantis Lieutenant Miller. Je suis le colonel John Sheppard le dirigeant de cette belle cité.
-Bonjour colonel je suis heureux de faire partie de l'expédition, fit Miller.
-Vous m'en voyez ravi lieutenant, fit l"Américain, vous savez pourquoi vous êtes ici?
-Oui pour seconder le major Lorne Mr, fit le jeune militaire.
-C'est ça, fit John, major?
-Oui Mr? Fit Lorne.
-Voulez-vous montrer à Miller ses quartiers? Fit Sheppard.
-Oui Mr, fit Lorne.




Miller suivit Lorne tandis que Caldwell et Sheppard allaient dans les bureaux du jeune militaire.  Caldwell lui tendit des documents et l'Américain eut un sourire. C'était des papiers officiellement signés d'Obama pour l'abolition de la loi DADT. John expliqua certaines choses à Caldwell puis il partit préparer ses affaires pour le lendemain. Après un bref passage au mess il repartit dans ses quartiers car le simple fait de voir Rodney le torturait. Il mit son pyjama fétiche, mit de la musique et s'allongea avec son livre "Guerre et paix". Mais au bout de quelques minutes il interrompit sa lecture car il n'arrivait pas à se concentrer parce qu'un scientifique aux cheveux châtains clairs et aux yeux bleus le hantait. Il reposa son livre et avec son gêne il éteignit mentalement sa lumière. Le sommeil tarda à venir et finalement au bout d'une heure il finit par s'endormir. Cette nuit là il fit un rêve très érotique


"Rodney se rapprocha doucement de John qui le fixait et l'entoura de ses bras. Sheppard ne bougeait toujours pas. Rodney s'enhardit, posa ses lèvres sur celles du militaire et... l'embrassa. Si John fut surpris par ce baiser, il ne le montra pas. Il enlaça le scientifique et répondit à son baiser. Il entrouvrit les lèves et leurs langues se joignirent dans un ballet effréné, décuplant leurs sensations. Ils se séparèrent à bout de souffle et John contempla Rodney pendant quelques secondes, le regard brillant. Puis il débarrassa le canadien de son duvet et s'extirpa du sien. Lentement, il glissa ses mains sous le t-shirt de Rodney et le caressa doucement. Le contact de ses mains sur sa peau provoqua de délicieux frissons au canadien qui s'enhardi et retira le t-shirt du militaire, le faisant passer par-dessus sa tête. Pendant quelques secondes, il contempla le torse nu de son amant et celui-ci s'inquiéta devant son absence de réaction.


-Rodney? Est-ce que ça va? Demanda John.
-Oui ça va même très bien, répondit le canadien en souriant et en glissant ses doigts entre les quelques poils noirs présents sur le torse du militaire lui provoquant un frisson de plaisir.


John lui sourit et repris ses lèvres pour un nouveau baiser passionné. Puis sa bouche glissa vers son cou et sa poitrine. Mais ses lèvres rencontrèrent un obstacle de tissu bleu qu'il s'empressa de faire disparaître rapidement. Ils étaient maintenant peau contre peau et ce simple contact décupla leur désir. Les mains de John parcouraient avidement la poitrine de Rodney, s'arrêtant sur les mamelons, les pinçant légèrement provoquant des gémissements de plaisir chez son partenaire. Le scientifique s'attaquait maintenant au pantalon du militaire, qu'il n'avait pas retiré avant de se coucher, se débattant avec la ceinture qu'il n'arrivait pas à enlever. John sourit en le voyant et vint à sa rescousse. Il retira prestement le vêtement et repris ses caresses. Il traça une ligne de baisers humides sur le torse de Rodney s'arrêtant au nombril. Le canadien poussa un gémissement et se cambra brusquement sous la vague de plaisir qui déferlait en lui. Puis John glissa son pouce sous l'élastique de son caleçon. La respiration de Rodney se fit anarchique lorsque la main du militaire se referma sur son membre durci et commença un lent mouvement de va et vient. Les hanches de Rodney se décollèrent légèrement et John compris. D'un brusque coup de rein, il les fit basculer. Rodney se retrouva en position de force. Il sourit, un petit sourire de triomphe et se pencha vers John. Doucement, il l'embrassa et ses lèvres partirent explorer le corps de son amant. Arrivé au bas-ventre, il retira le boxer du militaire, libérant son sexe fièrement dressé. Il le contempla un instant puis enroula ses longs doigts autour. John poussa un cri que Rodney fit taire d'un baiser. Il ne voulait pas que Teyla ou Ronon puissent les entendre. Quoiqu'en y réfléchissant il était peut-être déjà trop tard. Mais il s'en fichait. Tout ce qui lui importait était l'instant présent. Les mains de John courraient dans son dos et s'infiltrèrent dans son caleçon, empoignant les fesses rondes et les malaxant avec frénésie. Rodney continuait ses caresses, John arqua les reins brusquement et, dans un râle rauque, jouit dans la main de son amant. L'orgasme le laissa complètement épuisé et il ferma les yeux pendant quelques secondes. Lorsqu'il les rouvrit, il se trouva face à un regard bleu brûlant de désir. Il n'y résista pas et d'un coup de rein, reprit le dessus.


-John... murmura Rodney en le dévorant des yeux.
-Tu es sûr? Demanda John.
-Oui je te veux maintenant, haleta le scientifique.




John l'embrassa et glissa une main sous ses reins. En douceur, il le pénétra d'un doigt, immédiatement Rodney se tendit sous la douleur. John commença à bouger lentement en lui, tirant écartant pour mieux le préparer puis inséra un deuxième doigt. Rodney se cambra et poussa un long gémissement.


-Maintenant John... s'il te plait, haleta t'il. 


Le militaire retira ses doigts et s'agenouilla entre les jambes de son amant. Puis il lui releva les jambes et doucement s'inséra en lui.


-Ça va? Tu es bien? demanda le militaire. 


Rodney hocha la tête et attira le militaire à lui, l'incitant à le pénétrer plus profondément. John amorça un lent mouvement de va et vient. Rodney calqua le mouvement de ses hanches sur les siennes, nouant ses jambes autour de sa taille. John sentant le plaisir affluer en lui, accéléra le mouvement et donna des coups de reins de plus en plus rapide, percutant la prostate de son amant avec force à chaque mouvement. Sous lui, Rodney haletait et gémissait. Afin de décupler le plaisir de son amant, John pris son sexe durci dans sa main et lui imprima un rapide mouvement de va et vient. Rodney se libéra en criant dans la main de son amant, provoquant l'orgasme de celui-ci qui explosa en lui dans un cri rauque. John se laissa retomber épuisé sur la poitrine de Rodney. Tout deux tentaient de reprendre leur souffle. Puis Rodney passa ses bras autour du militaire et le serra convulsivement contre lui.


-Hey je ne vais pas m'enfuir tu sais, sourit John
-Je sais mais je veux être sûr que cette fois ci je ne rêvais pas, répondit Rodney en lui rendant son sourire.


Pour toute réponse, John l'embrassa. Puis il se retira et s'allongea à côté de Rodney qui se blottit contre lui. Épuisés par toutes ces émotions, les deux hommes s'endormirent dans les bras l'un de l'autre."


Wow ! John se réveilla en sursaut. Quel rêve ! Ça avait l'air réel. Il essaya de retrouver une respiration calme puis il se rendormit. Le lendemain il se réveilla troublé par le rêve qu'il avait fait. Il prit une longue douche pour se relaxer puis il s'habilla. Il sortit de ses quartiers et tomba nez à nez sur l'homme qui le hantait. Il le salua:


-Bonjour Rodney.
-Bonjour John, fit le canadien, comment allez-vous?


Sheppard sourit avec tendresse touché par la sollicitude du scientifique. En fait certains membres étaient au courant de sa récente rupture avec Teyla et bien sûr chacun essayaient de leur remonter le moral même si c'était lui le responsable. McKay lui demanda:


-Combien de temps restez-vous sur terre?
-3 jours, fit le militaire, et vous Rodney?
-Oh eh bien 3 jours aussi, fit le canadien.


Ils arrivèrent au mess, prirent leur plateau et allèrent s'asseoir avec leurs amis. John demanda à Miller comment s'était passé sa première nuit à Atlantis. Le jeune homme lui répondit qu'il avait passé une bonne nuit. Il fit le tour de la salle et vit que celle-ci était décorée et qu'il y avait un sapin. Il sourit et fini de prendre son petit déjeuner. Une demi-heure plus tard Rodney et lui étaient à la salle d'embarquement et au moment où ils traversèrent le vortex leurs amis leur souhaitèrent de bonnes fêtes. Ils arrivèrent au SGC et après le débriefing et un passage à l'infirmerie les deux amis purent partir. Ils se quittèrent à l'aéroport tout en se souhaitant de bonnes fêtes. Le temps de prendre son avion John se promena dans les magasins et sans savoir pourquoi il acheta des cadeaux pour Rodney et sa famille. Ce fut l'heure pour lui de prendre l'avion pour Washington. Durant le vol il pensa très fort à Rodney et se traita d'idiot pour ne lui avoir pas avoué ses sentiments. Il atterrit à Washington et partit chez son frère. Dave fut surpris et heureux de revoir son petit frère. Ils parlèrent un moment puis ce fut l'heure pour eux de se préparer. 20 minutes plus tard quand John descendit au salon Dave était entrain de recevoir ses invités. Il se mit dans un coin et attendit. Son frère le présenta à ses amis et c'est alors que tout dérapa. L'un d'eux se moqua ouvertement des couples bi et Gay. John en fut malade et comprit que sa place n'était pas ici mais aux côtés de l'homme qu'il aimait. Il prit ses affaires et appela un taxi qui vint 10 minutes plus tard et insensible aux appels de son frère il quitta la demeure familiale pour aller à l'aéroport. Par chance il attrapa une correspondance pour le Canada. L'avion décolla peu après et le vol dura 1h30. Quand il arriva il loua une voiture et partit chez les Miller. 30 minutes plus tard il frappa à la porte et ce fut Jeanie qui lui ouvrit. Elle lui dit en souriant:Un Noël magique:OS-Bonsoir John.
-Bonsoir Jeanie, fit John.
-Jeanie qui c'est? Demanda une voix qu'il connaissait bien.


C'est alors que l'homme qu'il aimait s'approcha d'eux et dit d'une voix surprise:


-John?
-Salut Rodney, fit le militaire.
-Mais qu'est-ce que vous faites ici, fit le scientifique.
-Eh bien disons que je suis parti de chez mon frère où ce n'était pas ma place et j'ai décidé de venir ici, fit L'Américain.
-Vous avez eu raison, fit Jeanie, n'est-ce pas Meredith?
-Euh oui bien sûr, fit le Canadien.


Le colonel se mit à rire tandis que McKay râla après lui. Jeannie lui dit:


-Venez John, on s'apprêtait à passer à table.


Ils allèrent dans le salon et John salua le beau-frère de Rodney. La petite Madison demanda à sa mère:


-Maman c'est qui ce monsieur?


John sourit et lui dit:


-Bonjour je suppose que tu dois être Madison moi je suis John un ami de ton tonton.
-Bonjour John, fit la petite.


Ils se mirent à table et commencèrent à manger. Le repas fut animé car John et Rodney se cherchaient. Jeanie sourit. Ces deux-là s'aimaient comme des fous. Les voyant faire la petite Madison demanda à sa mère:


-Maman pourquoi ils se disputent John et tonton Meredith?
-Ils se disputent pas ma puce. Ils sont amoureux, fit la jeune femme en souriant.


La petite s'approcha de son oncle et lui demanda:


-Dis tonton est-ce que John et toi vous êtes amoureux?


Ledit tonton qui était entrain de boire recracha tout sur le pauvre John qui lui dit furieux:


-McKay !
-J'y peux rien, fit Rodney, c'est à cause de Madison.
-Bon j'attends moi, fit la petite impatiente.
-Tu attends quoi? Demanda McKay.-
-Ben je veux savoir si John et toi vous êtes amoureux? Demanda sa nièce.


Les deux hommes se regardèrent en rougissant. Jeanie dit à sa fille et à son mari:


-Vous venez on va les laisser tranquilles.


Les Miller montèrent dans leur chambre tandis que le militaire et le scientifique se regardaient sans rien dire. C'est alors que John se lança:


-Rodney faut que  je vous dise quelque chose.


Il s'approcha et chuchota:


-Je t'aime.


Il prit son visage entre ses mains et l'embrassa.  Il interrompit le baiser et attendit la réaction de son canadien qui ne se fit pas attendre. Il lui répondit:


-Moi aussi je t'aime John.


Et il fondit sur la bouche du militaire pour approfondir le baiser en lui demandant l'accès à sa langue. Accès que lui donna sans hésiter le jeune brun. Les langues se mirent à danser un ballet sensuel arrachant un gémissement de plaisir chez les deux hommes puis ils l'interrompirent par manque de souffle. Sheppard était troublé mais heureux et il se demanda à haute voix:


-Je ne suis pas en train de rêver n'est-ce pas?


Rodney sourit et lui dit:


-Non tu ne rêve pas mon amour.




Il embrassa John à nouveau puis le militaire se blottit dans ses bras et lui dit:


-C'est le plus beau noël de ma vie.


Les deux amoureux s'embrassèrent puis Rodney prit sa main et ils montèrent dans la chambre du canadien.  Ils se mirent en pyjama. et Sheppard lui demanda:


-Tu es sûr de toi Rodney?
-Oui et toi?
 https://www.youtube.com/watch?v=-C_rvt0SwLE&list=PL0rWUiXm2MdFgvp_SVsLHTnbhgwZpixX7&index=98

Something about the way that you walked into my living room
Quelque chose à propos de la façon dont tu es entrée dans mon salon
Casually and confident lookin' at the mess I am
J'ai l'air décontracté et confiant en regardant le bordel que je suis.
But still you, still you want me
Mais quand même toi, tu me veux toujours.
Stress lines and cigarettes, politics and deficits
Lignes de stress et cigarettes, politique et déficits
Late bills and overages, screamin' and hollerin'
Des factures et des excédents en retard, qui crient et hurlent.
But still you, still you want me
Mais quand même toi, tu me veux toujours.
(Refrain)
Oh, I always let you down
Oh, je t'ai toujours laissée tomber
You're shattered on the ground
Tu es brisée par terre.
But still I find you there
Mais je te retrouve quand même
Next to me
À côté de moi
And oh, stupid things I do
Et oh, les choses stupides que je fais
I'm far from good, it's true
Je suis loin d'être bon, c'est vrai.
But still I find you
Mais je te retrouve quand même
Next to me (next to me)
A côté de moi (à côté de moi)


(Couplet 2)
There's something about the way that you always see the pretty view
Il y a quelque chose dans la façon dont tu vois toujours la jolie vue
Overlook the blooded mess, always lookin' effortless
Oublie le désordre sanglant, toujours sans effort.
And still you, still you want me
Et toujours toi, tu me veux toujours
I got no innocence, faith ain't no privilege
Je n'ai pas d'innocence, la foi n'est pas un privilège.
I am a deck of cards, vice or a game of hearts
Je suis un jeu de cartes, un vice ou un jeu de c½urs.
And still you, still you want me
Et toujours toi, tu me veux toujours
(Refrain)
Oh, I always let you down
Oh, je t'ai toujours laissée tomber
You're shattered on the ground
Tu es brisée par terre.
But still I find you there
Mais je te retrouve quand même
Next to me
À côté de moi
And oh, stupid things I do
Et oh, les choses stupides que je fais
I'm far from good, it's true
Je suis loin d'être bon, c'est vrai.
But still I find you
Mais je te retrouve quand même
Next to me (next to me)
A côté de moi (à côté de moi)
(Pont)
So thank you for taking a chance on me
Merci d'avoir tenté ta chance avec moi.
I know it isn't easy
Je sais que ce n'est pas facile
But I hope to be worth it (oh)
Mais j'espère en valoir la peine (oh)
So thank you for taking a chance on me
Merci d'avoir tenté ta chance avec moi.
I know it isn't easy
Je sais que ce n'est pas facile
But I hope to be worth it (oh)
Mais j'espère en valoir la peine (oh)
(Refrain)
Oh, I always let you down
Oh, je t'ai toujours laissée tomber
You're shattered on the ground
Tu es brisée par terre.
But still I find you there
Mais je te retrouve quand même
Next to me
À côté de moi
And oh, stupid things I do
Et oh, les choses stupides que je fais
I'm far from good, it's true
Je suis loin d'être bon, c'est vrai.
But still I find you
Mais je te retrouve quand même
Next to me (next to me)
A côté de moi (à côté de moi)
John ne répondit pas et posa un doigt sous le menton de Rodney, lui relevant la tête. Doucement il approcha son visage du sien et l'embrassa. Le canadien répondit à son baiser, ses mains s'infiltrant sous le haut de pyjama du militaire. John gémit sous la caresse et Rodney se mit à califourchon sur lui. Il fit glisser le vêtement par-dessus la tête du militaire et continua ses caresses. Ses mains furent bientôt remplacées par ses lèvres qui laissaient des sillons humides et brûlants sur la peau de John. Un John Sheppard qui ne savait plus où il était. Probablement perdu dans un maelström de sensations, bon sang ! Rodney lui faisait un de ces effets ! Tandis que le scientifique lui prodiguait caresse après caresse, baiser après baiser, John commença à lui déboutonner sa chemise et la lui retira. Ses mains entamèrent alors un lent ballet sur le torse de Rodney. S'arrêtant sur les mamelons qui durcirent immédiatement sous ses caresses. Puis sa main descendit plus bas et s'infiltra dans le pantalon du canadien, caressant son désir à travers le tissu de son boxer. Rodney gémit et infligea la même torture à son amant. Les hanches de John se décollèrent du lit malgré lui.


-Rodney... haleta t'il
-Oui John, fit le scientifique en se préparant à les faire basculer mais Sheppard le retint
-Non pas comme ça... murmura t'il en l'embrassant
-Tu veux que je...
-Oui, chuchota John, je te veux en moi Rodney maintenant...


Rodney ne savait pas trop quoi faire, Le militaire vit son hésitation et l'attira à lui pour un long baiser langoureux. Leurs langues se goûtèrent à nouveau et Rodney fut alors sûr. John avait confiance en lui et il le désirait plus que tout. Le scientifique retira alors son pantalon de pyjama à John et resta quelques secondes à le contempler. Puis il retira son propre pantalon et son boxer qui ne cachait rien de l'état dans lequel il se trouvait. John lui sourit et releva les jambes, lui montrant par ce geste qu'il était prêt. Rodney passa une main sous ses reins et le pénétra d'un doigt, le militaire se tendit et le canadien commença à bouger lentement en lui puis il introduisit un second doigt et repris ses mouvements. John gémit et se cambra brusquement. Le scientifique sentit qu'il était prêt à le recevoir et remplaça ses doigts par quelque chose de plus gros. John se raidit instantanément mais cela ne dura pas. Rodney amorça un lent mouvement de va et vient et le plaisir devenant de plus en plus intense pour les deux hommes, il accéléra le rythme jusqu'à atteindre le paroxysme. Les hanches de John ondulaient au même rythme que les siennes. Rodney voulait que John ressente le plaisir que lui-même éprouvait et il prit le sexe dressé de son amant dans sa main et lui imprima de rapides mouvements de bas en haut. John cria le nom de Rodney et se répandit dans sa main. Son orgasme provoqua celui de Rodney qui explosa en lui dans un cri rauque. Le scientifique se laissa retomber, épuisé, sur le torse en sueur de son amant. Il avait du mal à reprendre sa respiration, tout comme John d'ailleurs. Il se retira et roula sur le dos à côté de John.


-Merci Rodney, murmura simplement John en le serrant contre lui.
-Tout le plaisir est pour moi, répondit Rodney en souriant. 


Ils échangèrent un nouveau baiser, se remirent en pyjama puis ils s'endormirent. Le lendemain matin très tôt alors que son amant dormait profondément Rodney et Jeanie partirent en ville pour acheter des cadeaux de Noël pour son compagnon. Il discuta avec sa soeur de John et alors qu'ils s'apprêtaient à repartir le scientifique craqua pour un petit chiot. Il dit à sa soeur:


-Regarde Jeanie comme il est mignon ce petit chiot. Je suis sûr que ça ferait plaisir à John.
-Pourquoi? Il aime les chiens? Lui demanda la jeune femme.
-Oui, fit le scientifique.
-Ben vas-y prends lui, fit sa soeur.


McKay alla voir la vendeuse et 30 minutes plus tard ils repartirent avec le petit chiot. 20 minutes plus tard ils arrivèrent au domicile des Miller. Rodney déposa son précieux cadeau sous le sapin et monta dans sa chambre. Il se déshabilla, se remît en pyjama et se recoucha. Il reprit sa place auprès de son homme qui ne s'était pas encore réveillé et se rendormit. Deux heures plus tard une petite tornade vint les réveiller en sautant sur le lit:


-Debout tonton ! Le père noël est passé.
-Madisson laisse nous dormir, ronchonna le scientifique.
-On arrive ma puce, fit John.


La petite redescendit de leur lit et sortit de la chambre. John se tourna vers son petit ami et l'embrassa longuement en lui disant:


-Bonjour mon amour.
-Bonjour chaton, fit le scientifique en répondant à son baiser.
-Chaton? Fit le militaire amusé.
-Oui je trouve que ça te va bien, fit le canadien.
-Ça te va bien à toi aussi, fit John, on descend chaton?
-Oui on y va mon amour, fit-il.


Les deux hommes descendirent au salon et tout le monde se réunit autour du sapin. Jeanie et Caleb donnèrent les cadeaux à Madison qui s'extasia en les ouvrant.  Jeanie prit des photos de sa fille et une de John et Rodney tendrement enlacés et pendant que la petite jouait avec ses nouveaux jouets qu'elle avait reçu les adultes purent ouvrir leurs cadeaux. Les Miller furent beaucoup gâtés ainsi que les amoureux. De Rodney John reçu une belle montre, une gourmette avec son prénom écrit dessus, du parfum, des CD collector de Johnny Cash, un pyjama avec un chien dessus et c'est avec appréhension que le scientifique lui offrit son dernier cadeau. Il guettait la réaction de son homme. Réaction qui ne se fit pas attendre:


-Oh mon dieu Rodney qu'il est mignon. Il fallait pas.
-Je sais que tu aime les chiens alors je t'en ai offert un, fit le Canadien, et au passage c'est une petite chienne.
-Merci mon Rodney, fit l'américain en l'embrassant tendrement, je t'aime.
-Moi aussi, fit Rodney en lui rendant son baiser, tu vas l'appeler comment?
-Lizie en l'honneur d'Elisabeth.
-C'est un bel hommage que tu lui rends, fit le scientifique.


Le colonel lui sourit puis il lui donna ses cadeaux. Rodney l'embrassa tendrement pour le remercier. Il avait reçu une belle montre, une gourmette où son prénom était marqué dessus, un pyjama et toute une encyclopédie sur Albert Einstein. John caressa sa joue puis il posa quelque chose dans ses mains. En voyant ce que c'était Rodney lui demanda:


-Chaton pourquoi tu me donne tes plaques de militaire?
-C'est pour un engagement, lui dit-il, c'est un peu comme une bague de fiançailles.
-Quoi? Fit le scientifique ému.
-Rodney, fit John, tu es mon âme soeur. Tu es le seul que j'aime et je n'envisage pas ma vie sans toi. Je veux vivre avec toi le reste de mon existence.


Le canadien se blottit dans les bras de son homme trop ému pour répondre. Sheppard lui demanda:


-Veux-tu m'épouser Rodney?


Rodney n'osant y croire lui demanda:


-Tu es sûr de toi John?
-Oui, fit le militaire.
-Alors ma réponse est oui, fit McKay, je veux bien t'épouser John.


Ledit John embrassa amoureusement son homme et lui passa ses plaques militaires autour du coup. Jeanie heureuse pour son frère le serra dans ses bras ainsi que son futur-beau-frère pour les féliciter puis ils purent prendre leur petit déjeuner. Après cela les Miller leur proposèrent d'aller en ville et les deux amoureux bien sûr acceptèrent. Ils allèrent prendre leur douche qui fut très chaude. Ils ressortirent de la salle de bain 30 minutes plus tard et s'habillèrent chaudement.  Ils descendirent rejoindre les Miller au salon puis ils quittèrent la maison. Ils allèrent en ville et ils passèrent une belle journée. Rodney craqua pour un petit chaton que John lui  offrit. Il alla aussi dans une bijouterie et acheta deux alliances. Alors qu'ils repartaient Sheppard vit une chapelle et sut ce qu'il devait faire. Il prit la main de son homme et fit Signe aux Miller de les suivre.  Ils entrèrent à l'intérieur et le colonel s'entretint avec le prêtre. Après cela l'Américain alla chercher son petit ami qui lui demanda:Un Noël magique:OS-Rodney es-tu toujours d'accord pour m'épouser?
-Plus que jamais, répondit le scientifique, pourquoi?
-Parce que le père Morisson est prêt pour nous unir, fit le militaire.
-Quand? Maintenant? Fit McKay.
-Oui Rodney, fit le jeune brun.
-Oui d'accord, fit le scientifique,


Les deux hommes allèrent auprès de l'homme d'église qui unit les deux amoureux. Après s'être juré amour et fidélité John et Rodney s'échangèrent les alliances. Une demi-heure plus tard tous les 5 sortirent de la chapelle et allèrent au restaurant pour fêter cela. Ils rentrèrent au bout de 3 h et après avoir fait manger leurs animaux le jeune couple monta dans leur chambre pour préparer leurs affaires car le lendemain ils devaient repartir sur Atlantis. Une fois leurs affaires prêtes Sheppard démontra à son mari tout l'amour qu'il éprouvait et après l'avoir aimé une partie de la nuit ils finirent par s'endormir. Le lendemain après une séparation remplie d'émotions les deux amoureux quittèrent le domicile des Miller le coeur lourd en leur promettant de revenir aux prochaines vacances. Dans l'avion qui les ramenaient à Cheyenne Mountain Rodney repensait à ces deux jours qui venait de passer. Il caressa son alliance en souriant et John qui avait vu son geste lui dit:


-Tu m'as l'air heureux mon Rodney.
-Oh oui très heureux même, lui dit-il, parce que je t'aime et parce qu'on est marié.
-Moi aussi je suis très heureux mon amour, fit le militaire en l'embrassant.
-Mais dis-moi mon chaton comment on va faire quand on sera sur Atlantis? Demanda le scientifique anxieux.
-Comme maintenant mon Rodney, fit John, et puis la loi du DADT a été aboli par Obama alors on a rien à craindre. J'ai trouvé des quartiers plus grand et si tu veux on peux s'y installer dès qu'on arrive.
-Je veux bien oui, fit Rodney.


Les deux hommes échangèrent un long baiser puis l'avion se posa sur la piste d'atterrissage. Ils allèrent au SGC et après leur visite médicale obligatoire ils purent partir sur Atlantis. Quand ils arrivèrent John surprit une conversation qui ne lui plût pas. Caldwell voulait que l'équipe de SGA aille explorer une planète où il y avait des Wraiths. Lorne opposait son refus et le colonel lui dit:


-Major jusqu'à nouvel ordre c'est moi qui commande ici !


Ne pouvant plus supporter davantage John intervint:


-Vous vous trompez Caldwell ! C'est moi le dirigeant de cette cité  et je reprends aussitôt la direction. Vous n'avez pas pu vous empêcher de changer certaines choses hein?
-Eh bien oui, fit Caldwell, il fallait bien.
-Ecoutez-moi bien colonel je ne vais pas vous le dire deux fois: Jusqu'à nouvel ordre c'est moi qui dirige cette cité alors maintenant vous pouvez disposer et laissez-moi retrouver mon équipe, fit le jeune brun froidement.
-Très bien Sheppard, fit le militaire, mais on en restera pas là.


Caldwell quitta le bureau et John fit à son homme de s'asseoir. Il prit la parole:


-Bonjour à tous. Ça fait du bien de vous revoir.
-Nous aussi John, fit Teyla.
-Avez-vous passé de bonnes fêtes? Leur demanda le jeune brun.
-Oui Mr et vous? Demanda Lorne.
-Oui, fit John.


Il s'empara de la main de Rodney et leur dit:


-On a quelque chose à vous dire: Voilà Rodney et moi sommes ensemble et nous nous sommes mariés hier.
-Enfin, fit Ronon, c'est pas trop tôt.
-Hein? Mais qu'est-ce que vous voulez dire par là? Demanda Sheppard.
-Eh bien ça fait longtemps que vous vous tourniez autour, fit Lorne, et on se demandait quand est-ce que vous alliez vous déclarer.
-C'est fait apparemment, fit Teyla, en tout cas toutes nos félicitations.
-Merci, fit le colonel, j'aimerais vous demander quelque chose.
-Allez-y, fit le satedien.
-Je voudrais que vous protégiez et que vous veillez sur Rodney, fit le militaire, lors des missions.
-Hein? Mais John je sais me défendre, protesta Rodney.
-Je sais mon amour, fit le jeune brun, mais je serais beaucoup plus rassuré si quelqu'un pourrait veiller sur toi car je ne participe plus aux missions.
-D'accord, fit le scientifique en soupirant.
-Ne vous inquiétez on prendra soin de lui Mr, fit Lorne.
-J'en doute pas Lorne, fit Sheppard, bien est-ce que vous voulez me donner un coup de main pour déménager nos affaires dans un quartier plus grand?
-Avec plaisir, Sheppard, fit Ronon.


Pendant près de 3 h l'équipe de SGA donna un coup de main aux jeunes mariés mais ils ne virent pas que quelqu'un les espionnait. Ils ne virent pas non plus cette même personne contacter Caldwell. Après leur déménagement John et Rodney prirent une longue douche relaxante puis après s'être habillé ils partirent au mess main dans la main avec la petite Lizzie qui les suivaient. Alors qu'ils s'apprêtaient à prendre le plateau pour leur repas Caldwell fit son apparition avec des militaires. Il leur dit en montrant John:


-Emparez-vous de lui !


Aussitôt les hommes de Caldwell entourèrent le jeune brun et pointèrent leur arme sur lui. Sheppard leur dit:


-Non mais c'est quoi ce cirque?
-Colonel je vous arrête, fit Caldwell.
-Et pourquoi donc? Fit Rodney qui s'était mit devant son mari pour le protéger.
-Tout simplement parce que vous vous êtes mariés, fit le colonel dégoûté.


Et alors que John s'apprêtait à dire quelque chose une voix les interrompit:


-Qu'est-ce que ça peut vous faire? Fit O'Neill, ils ont le droit de s'aimer.
-Comment ça? Fit Caldwell.
-Depuis que la loi du DADT à été dissoute, fit le Dr Jackson.


O'Neill montra le document au militaire qui devint blanc.  Il lui dit:



-Le colonel et Mckay ne sont pas les seuls à être en couple. Le Dr Jackson et moi-même sommes en couple.
-Moi aussi, fit le Mjor Lorne, avec Zelenka.


Tout le monde fut étonné puis Rodney demanda à Caldwell:


-Au fait comment saviez-vous que John et moi...
-Par moi, fit Miller en coupant le scientifique, si je n'obéissais pas il me renvoyait sur terre.
-Caldwell vous êtes démis de vos fonctions, fit O'Neill.


Jack O'Neill se tourna vers John et Rodney et leur dit:


-Soyez sans crainte. Vous pouvez vous aimer librement.


Il leur fit un clin d'oeil puis il prit la main de Jackson dans la sienne et ils quittèrent la cité avec Miller. Rodney posa son plateau, prit John par la veste et l'embrassa avec fougue. Le militaire gémit, passa ses bras autour du cou de son mari pour le rapprocher de lui et répondit à son baiser avec fièvre. Toutes les personnes résident à la cité applaudirent et les deux hommes se séparèrent par manque de souffle. John posa son front contre celui de Rodney et lui dit:


-Je t'aime mon Rodney.
-Moi aussi je t'aime John, fit le scientifique.


Ils se sourirent tendrement puis ils allèrent rejoindre leurs amis pour manger. Lizzie se mit en boule aux pieds de son maître et s'endormit. l'équipe mangea dans la bonne humeur en échangeant des plaisanteries et après le dessert ils rejoignirent leurs quartiers. Rodney joua avec son petit chat quelques instant avant d'aller rejoindre John au balcon. Le militaire regardait la cité éclairée et sourit quand il sentit son homme se serrer contre lui. Il se retourna et ensembles ils entrèrent dans la chambre pour aller se coucher. Ils avaient toute la vie pour s'aimer et ils savaient que par moment ça serait difficile à cause de la menace qui pesait sur eux mais ils avaient foi en l'avenir. Et c'est ensemble qu'ils entamaient un nouveau chapitre de leur vie.
Un Noël magique:OS
Tags : John Sheppard ❤, Rodney McKay ❤, un noel magique, OS ❤️, Stargate Atlantis ! ♥
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#Posté le jeudi 31 octobre 2019 05:13

Modifié le lundi 18 novembre 2019 13:24

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